La propagandiste anti-israélienne Mai Masri a signé son premier long-métrage contre l’Etat juif avec 3000 Nuits. Le film de la réalisatrice américano-palestinienne, résidant à Beyrouth au Liban, décrit une prison pour femmes en Israël avec un seul but: nuire à l’Etat juif.
L’histoire, qui se déroule dans les années 1980, tourne autour de Layal, une jeune institutrice de Naplouse qui a aidé « contre son gré » un terroriste Palestinien qui avait fait couler du sang juif. Arrêtée, incarcérée pendant huit ans, soit 3000 nuits. Apprenant en prison qu’elle est enceinte, Layal décide contre vents et marrées de garder l’enfant et donne naissance à un petit garçon derrière les barreaux.
Le film, une totale fiction serait inspiré de « dizaines d’interviews menées auprès de femmes devenues mères en prison », et a été tourné en Jordanie dans une prison désaffectée, racontait déjà Mai Masri lors d’une présentation en avant-première de 3000 Nuits, en mai 2016 à l’Institut du monde arabe (IMA), dans le cadre du Festival Ciné-Palestine, en présence du réalisateur anti-israélien Ken Loach qui en avait profité pour exprimer son soutien. En région parisienne, l’incitation à la violence du film avait conduit à des appels à la vigilance.
En avril 2016, le film était à l’affiche d’un cinéma indépendant de la ville d’Argenteuil, dans le Val d’Oise. Mais le maire (LR) Georges Mothron avait exigé la déprogrammation de 3000 Nuits.
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