Les Juifs originaires d’Irak ont commémoré à Chavouout le 79e anniversaire des terribles massacres qui eurent lieu à Bagdad les 1er et 2 juin 1941, connus sous le nom de “Farhoud” synonyme de “progrom”.
Profitant du laps de temps entre la fuite du Premier ministre pro-allemand Rashid Ali A-Gallini et l’arrivée des troupes britanniques, des foules galvanisées de haine et imbibées de propagande antisémite nazie se livrèrent durant deux jours à des horreurs envers les Juifs qui rentraient de la synagogue ou se promenaient en famille. Les scènes racontées par les survivants soulèvent le coeur : hommes, femmes, enfants et vieillards battus à mort ou abattus, femmes violées, membres d’enfants arrachés, personnes écrasées ou jetées depuis les toits des maisons, enfants jetés dans des puits ou le fleuve etc. Le bilan oscille selon les versions entre 200 et 600 tués, des centaines de blessés ainsi qu’un nombre impressionnant de magasins et de maisons détruits et pillés. Ce fut le signal de la fin d’une prestigieuse communauté présente depuis plus de vingt siècles dans ce pays.
Ce massacre ne fut pas le fruit d’une initiative spontanée mais le résultat de nombreux mois de propagande antisémite instillée quasi quotidiennement par le gouvernement irakien pro-nazi installé en 1940 et surtout, par le mufti de Jérusalem Hadj Amin Al-Husseini, l’un des instigateurs principaux de cet antisémitisme meurtrier.
Recherché par les Britanniques pour sa responsabilité dans la Grande révolte arabe en Palestine de 1936, cet admirateur de Hitler, partisan de la Solution Finale et inventeur du mouvement nationaliste « palestinien » avait fui la Palestine mandataire en 1937 pour le Liban. Recherché ensuite par les Français, il avait fui le pays du Cèdre en 1939 pour se réfugier en Irak où il fut accueilli en héros national. Jusqu’à sa nouvelle fuite vers l’Iran après la victoire britannique sur l’Irak en mai 1941, le mufti eut l’occasion de diffuser sa propagande nazie dans les médias irakiens et à orchestrer le massacre du Farhoud, notamment avec des fonds venus d’Allemagne.
Lors d’une émission télévisée dimanche soir, la question s’est posée de savoir pourquoi ce massacre qui s’est déroulé en Orient durant la Shoah n’a pas été retenu dans l’historiographie israélienne comme conséquence de la propagande nazie et qu’il est si méconnu de la jeunesse. La réponse la plus pertinente qui a été donnée est qu’il ne fallait pas mettre en évidence le lien ontologique entre le nazisme et le mouvement national palestinien qui s’en est pourtant grandement inspiré. Ce n’était pas “politiquement correct”. Il y a encore aujourd’hui en Israël une réticence coupable à insister sur les passerelles établies entre le nazisme et les mouvements islamiques entre les années 1920 et 1940 et sur les liens étroits, structurels même, entre le nazisme et la naissance du nationalisme arabe dit “palestinien”.
Cette occultation aux conséquences politiques très graves se double d’une injustice criante envers les familles des victimes: tout comme en mars 2019, la Cour suprême a rejeté cette année un recours déposé par des organisations représentant des Juifs originaires d’Irak qui demandaient à ce que les victimes de ces progroms ou leurs descendants soient reconnus comme victimes des persécutions nazies. Bien que reconnaissant que l’Allemagne nazie était en partie responsable des émeutes du Farhoud, les juges ont interprété de manière restrictive la loi de compensations de 1957, excluant de son champ les victimes du “Farhoud”!
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pourquoi, se taire faisant le en criant haut est fort. nous le faisons tout en silence . marquant un jours de manifestation pour la mémoire . dans tous les pays il y a eu des pogroms comme dans les pays de l”Est . nous nous taisons plus !
Les ashkenazes sont nazes: ils tiennent à se considérer par le monde entier et jusqu’à la fin des temps comme les seuls victimes de la shoah. Le monde juif issu des pays musulmans est bel et bien oublié et jeté aux orties; il faut surtout ne pas égratigner le mythe de la merveilleuse histoire de l’Al Andalus où tout apparaît idyllique et merveilleux entre arabes musulmans et juifs. Et à la Cour Suprême, c’est idem. les juifs des pays arabes sont des “sales crouilles”. C’est un ashkenaze qui me l’a sorti, ce mot.
Alors, nous juifs, pour nous défendre contre l’antisémitisme, balayons déjà devant notre porte
Il n’y a pas que le mot “crouille” mais aussi le mot “Schwartz et fils” qui a une connotation horrible parce que “Schwartz” voulant dire “noir” dans le sens de basané, foncé par opposition à “peau claire” des Aschkenazes alors qu’il n’y en avait pas tant que cela “des têtes blondes ; tout cela pour dire que le mot Schwartz veut dire “le rat” ! Voilà ce que pensent les Aschks des séfarades, cela m’a même été dit il y a moins d’un an, en Israël : “dis à ton Schwartz de beau-fils qu’il enlève sa voiture de ma place” (alors qu’il y avait erreur sur le possesseur de la voiture).
Il faut arrêter de se taire et et le dire haut et fort dans le monde entier les pogromes que les juifs ont subit dans les pays arabes , en Europe pays de l’Est ne doivent pas rester dans l’oubli et impuni , que le palestinisme est la copie du nazisme, les noirs américains manifestent pour dénoncer leur racisme et tous les médias approuvent, nous devons faire pareil dénoncer le racisme politique arabe dernier racisme à abattre …
Ne pas reconnaître ce pogrom, c’est insulter les victimes. Quant à la collusion entre le monde arabe et l’Allemagne nazie, pour l’ignorer il faut être au mieux une autruche. Et un dernier mot sur le mufti de Jerusalem, il s’en est sorti à la fin de la guerre, grâce à la France, me semble-t-il.
Ces critiques entre ashkénazes et séfarades et vice-versa, entre religieux et laïcs et vice versa, entre religieux orthodoxes et libéraux et vice-versa sont ridicules . La vraie distinction à faire est entre Juifs pro-israéliens et juifs antisémites.Ces derniers ont effectivement le droit ; comme quiconque, de critiquer Israël mais uniquement en utilisant les mêmes critères que ceux utilisés pour critiquer les autres pays; malheureusement ces Juifs antisémites utilisent, comme les autres antisémites, le double standard ( un critère pour juger Israël et un autre critère pour les autres pays). Il est temps que les Juifs qu’ils soient orthodoxes, libéraux ou laïcs changent leur définition de qui est Juif. Pour moi est Juif : tout qui a un lien au judaïsme ( au moins un grand-père, un conjoint, un enfant ) , qui peut être athée mais pas d’une autre religion que le judaïsme , qui se considère comme faisant partie du peuple juif et surtout qui ne prononce pas des paroles antisémites ou fait des actes antisémites.
MAUDIT SOIT CETTE RACE DE “” NAZIS-ARABOS-MUSULMANS-ISLAMISTES-FACHISTES -TERRORISTES- COLLABOS DE TOUTES OBÉDIENCES ET DE TOUTES NATIONALITÉS ::::::::::::: “” HACHEM MIDBARAKH TSION ISRAËL “” ( ELOHIM STEVAOT ) :::::::::::: NOUS A PROMIS DE NOUS RENDRE JUSTICE ET CONFIRMER PAR LES PROPHÈTES :::::: AINSI SERONT ÉRADICATION LES ( AMALECITES ) ENNEMIS D’ ISRAËL ET DU D.IEU D’ ISRAËL UN ; VIVANT DE JUSTICE VRAIE ET AMOUR ::::::: AMEN VE AMEN :::::::::::::::
Quand est-ce-que cette haine envers les juifs ashkénazes va s’arrêter? il n’en reste plus beaucoup. Est-ce–qu’Israël n’a pas assez d’ennemis de part le monde, pour rajouter cette haine entre les juifs en Israël? je n’accuse pas le PH, qui est assez honnête dans ces articles, mais ceux qui, par le droit de réponse, se permettent des propos aussi nauséabonds.Il s’agit là d’une guerre fratricide. C’est déjà ça, qui a provoquée la chute du deuxième temple. Je suis très âgés, et j’espère ne pas être la seule à réagir à de tels propos. Quant aux autres, sous couvert d’anonymat, se permettent d’écrire des propos tels qui ont conduit, 6 millions des nôtres à être assassinés, et pas seulement des Ashkénazes, et je les pleure tous quelques soient leurs origines.