Invitée au mois de septembre à un débat sur un plateau de télévision en Australie, la députée travailliste Meirav Michaeli a tenu des propos scandaleux concernant la cellule familiale.
Connue pour ses idées féministes et “progressistes” extrêmes, Meirav Michaeli a notamment déclaré que “la cellule familiale traditionnelle est la structure la plus dangereuse qui puisse exister pour un enfant” et que “l’institution du mariage est un fait une possibilité pour l’homme de dominer sa femme et ses enfants”. Ainsi, devant un public non-juif et face à des interlocteurs plutôt conservateurs, cette députée juive représentant l’Etat d’Israël a indiqué qu’il fallait démanteler les structures traditionnelles au profit de “modèles avant-gardistes”: “Un enfant pourrait par exemple avoir plus que deux parents qui ne seraient pas forcément ses parents biologiques”!!
Certains députés ou personnalités publiques israéliens ont réagi à ces déclarations. Betzalel Smotrich (Habayit Hayehoudi) a twitté: “Seul le cerveau d’une personne misérable qui n’a jamais expérimenté le mariage et le statut de parent peut tenir de tels propos. Meirav Michaeli est une personne à plaindre”.
Yehouda Glick (Likoud) a lui-aussi utilié Twitter pour réagir: “Il y a apparement des choses évidentes qu’il faut répéter sans arrêt de manière claire: la cellule familiale chaleureuse est le cadre idéal pour faire grandir un enfant”.
Erez Tadmor, l’un des fondateurs d’Im Tirtsou a déclaré: “Les jours sombres sont déjà là. Une politicienne de premier plan souhaite faire éclater la cellule familiale et que l’Etat fixe des critères qui décideront qui peu ou non être parent. Effrayant”.
Comme de très nombreuses personnes amnésiques, Meirav Michaeli oublie que si elle est là aujourd’hui en tant que juive c’est parce que des centaines de générations qui l’ont précédé ont maintenu coûte que coûte la structure familiale traditionnelle qui a permis au peuple juif de survivre à toutes les épreuves.
Photo Ecran
Une politicienne de premier plan, à voir, vous voulez la mousser ou lui faire plaisir
je ne connais aucun enfant qui voudrait l’appeler “maman” !
Ami Artsi a bien résumé : ce ” féminisme ” victimaire n’en est pas un. C’est un concept dévoyé, comme l’antiracisme d’aujourd’hui est dévoyé et sert de prétexte à un racisme contre les valeurs de la civilisation occidentale.