Les mensonges colportés par les Palestiniens quant à la violation du statuquo sur le mont du Temple n’ont pas commencé avec l’actuelle vague de violence, ni même avec la conquête du Har Habayit par les paras israéliens en juin 67. Il faut remonter dans l’histoire jusqu’en 1936, il y a 80 ans et même aux origines de la révolte arabe en Érets Israël en 1929. À l’époque, l’incitateur en chef ne s’appelait pas Raëd Salah, mais Hadj Amin el Husseini, grand mufti de Jérusalem qui deviendra ensuite l’allié d’Hitler et son partenaire dans leur haine du peuple juif. Alors déjà le cœur du conflit était d’ordre religieux.
Ce n’est pas un hasard si les Palestiniens et derrière eux le monde arabe appellent à la « Défense d’El Aqsa ». L’islam autorise le mensonge si ce mensonge lui permet de défendre ses intérêts. C’est précisément ce que font Abbas et Salah et leurs acolytes actuellement. Ils savent pertinemment qu’Israël n’a pas modifié le statuquo sur le Mont du Temple. Ils savent pertinemment que ce sont eux qui ont violé ce statuquo ces dernières années en détruisant des trésors archéologiques dans le sous sol du lieu saint. Mais ils ne s’embarrassent pas des faits réels. Comme le disait Joseph Goebbels, autre grand oppresseur d’Israël et menteur patenté : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit ».
Une leçon parfaitement intégrée par les descendants spirituels du grand mufti. Nos sages nous enseignent qu’en hébreu, le mensonge ne tient pas solidement sur ses pieds alors que le Émet – la Vérité – repose solidement sur son socle. Face aux mensonges de l’islam sur le Mont du Temple, il est de notre devoir de revendiquer plus fort que jamais la mida de Émet associée pour l’Éternité au troisième de nos patriarches, Yaacov, celui dont nous portons fièrement le nom, Israël. Celui qui est droit avec D.ieu. C’est en brandissant le Émet qu’Israël vaincra.
Daniel Haïk pour Hamodia