Il est une mode depuis quelques années à gauche d’encenser soudainement la droite « libérale et éclairée » de l’époque de Menahem Begin afin de pouvoir encore mieux pourfendre celle d’aujourd’hui, décrite avec des termes outranciers tels que « radicale », « raciste », « messianiste » voire « fasciste ». Une manière très rusée de montrer que l’on n’est pas sectaire…
Le Prof. Zeev Sternhell n’échappe pas à cette mode, et a déclaré ces jours-ci que la droite de l’époque de Menahem Begin « respectait au moins les droits de l’homme, contrairement à celle d’aujourd’hui ». Or, voici ce qu’il écrivait justement à l’époque du gouvernement Begin: « …un sionisme agressif, extrémiste, clérical, qui dénie les droits d’autrui, menace l’Etat d’Israël, un classique du fascisme… »!
Comme quoi on peut être un éminent universitaire et en même temps en menteur patenté ainsi qu’un idéologue aveugle. N’oublions pas que c’est ce même Prof. Sternhell, qui se soucie tant des droits de l’homme, qui demandait un aux terroristes arabes d’épargner les Israéliens qui habitent en-deçà de la « ligne verte » et de ne s’attaquer qu’à ceux qui habitent en Judée-Samarie!
Cet intellectuel d’extrême-gauche, spécialiste du fascisme français, a curieusement minimisé voire occulté le rôle de la gauche et de l’extrême gauche dans les années 1935-1945, lorsque de très nombreux cadres et militants socialistes et communistes ont versé dans le fascisme et le nazisme, avec comme corollaire la collaboration avec l’Allemagne. C’est ce qui ressort de l’excellent ouvrage de Simon Epstein « Le paradoxe français ».
Mais la gauche israélienne, dont Zeev Sternhell est l’un des porte-drapeaux les plus virulents n’est pas à un paradoxe près…
Photo Illustration
Mais cessez donc de faire à cette abjecte pourriture, dont le nom rime si bien avec poubelle, l’honneur d’en parler. On se sent souillé, simplement de voir un titre et une photo de cette chose infâme. Laissez cet étron là où il est, c’est-à-dire dans le néant et parlez-nous plutôt du genre humain. Merci
Quand on est perclus de tant de dénis de vérité, de morale, de justice, de vérité, de lumière (celle de la connaissance divine), on perd définitivement le titre de savant, d’éminent spécialiste, connaisseur, professeur … on est plus rien
Alors cessons d’écrire et de parler de cette nullité, malheureusement cela existe
Une ordure. On passe, on ‘efface, il trepasse…
vous appelez cette merde professeur, professeur de quoi? professeur en connerie.