A l’automne, ce sera la cinquième fois en trois ans que Binyamin Netanyahou se présente au poste de Premier ministre. Après avoir battu le record de longévité à cette place, en l’ayant occupée pendant 12 ans, Bibi souhaite toujours diriger le pays.
Ses quatre échecs successifs à former un gouvernement n’ont quasiment pas entamé sa popularité au sein du Likoud et du peuple d’Israël en général.
Néanmoins, les élections qui s’annoncent ont des allures de dernière chance pour ce monument de la politique israélienne.
Le parti orthodoxe ashkénaze, Yahadout Hatorah, qui a suivi Netanyahou dans l’opposition l’année dernière et qui appartient à ce fameux bloc de droite autour de l’ancien Premier ministre, a déjà prévenu: s’il ne parvient pas à réunir 61 députés autour de lui, Yahadout Hatorah sera prêt à accepter d’autres alternatives, quitte à s’allier avec Yaïr Lapid.
Au sein du Likoud, Netanyahou fait figure de chef incontesté. Certes, il peut exister des tensions ou des mots, comme avec Yuli Edelstein ou cette semaine avec Dudi Amsellem après que celui-ci a affirmé que Ra’am pourrait intégrer une coalition déjà constituée de 61 députés, avant d’être rappelé à l’ordre par son chef de parti.
Mais, en tout état de cause, aucun vent de rebellion ne souffle au Likoud pour le moment, du moins à la surface. En coulisses, ils seraient plusieurs à penser que cette élection est véritablement la dernière chance de Netanyahou.
Le leader de la droite subit de plein fouet le boycott dont il fait l’objet de partis comme Tikva Hadasha ou Israël Beitenou, des députés qui, par le passé, ont appartenu à son parti ou à ses coalitions. Ceux-ci déclament un slogan inchangé: si Bibi s’en va, un gouvernement de droite peut être constitué dès demain.
Cette guerre d’usure commencerait-elle à produire ses effets dans les rangs du Likoud? Force est de constater que personne ne pense sérieusement pouvoir prendre la tête du Likoud tant que Netanyahou sera là et ce même s’il n’arrivait toujours pas à former de gouvernement après les élections de cet automne. Mais le volume de la petite musique qui pousserait le chef de la droite à partir s’il échouait cette fois, augmente.
« Dudi Amsellem a affirmé que Ra’am pourrait intégrer une coalition » Cet homme du Likoud qui parle comme BENETT, Lapid et les autres…. ça alors….quel adorateur bibiste l’eût cru ? Parions, sans le moindre risque, que c’est un ballon d’essai dirigé par le manipulateur……il y en aura d’autres…Aux idolâtres de préparer des pansements gastriques et des antidépresseurs, ils en auront besoin ! Après les 12 plaies de la coalition, BIBI, pas assuré de réunir 61 députés godillots….c’est possible çà ??? La réponse est OUI !!!
Amsellem : rien a voir avec Benett et Lapid. Si vous avez suivi ce qu’il a dit c’etait Ok pour Raam si la coalition etait deja formee et ne dependait pas de leurs voix.
Esther, je vous en prie vous valez mieux que ces arguments à 2 balles !
Si le Patriarche BIBI est exclu du Likoud sans son consentement, ce dernier explosera et c’est la fin du Likoud.
Un c o n s e i l, son remplaçant doit être choisie avec son accord, c’est hyper important !
Pour info : le Patriarche détient une énergie incommensurable autour de lui, vous pouvez le graver dans le marbre.
Pendant que vous y êtes……la fin du monde aussi ????????
Il n’existe qu’un seul problème à résoudre pour arriver à une stabilité politique relative en Israël. Il s’appelle Binyamin Netanyahu.
Il a beaucoup de fans inconditionnels qui croient dur comme fer que sans lui le pays court à sa perte, l’année passés avec un des pires gouvernements que le pays ait connu, a largement prouvé le contraire.
Compte tenu que tous ceux qui ont déjà été dans son gouvernement ne veulent plus gouverner avec lui et que le bloc des pros et des antis sont à peu près équilibrés, l’incertitude la plus totale règne sur la formation d’une coalition de droite.
S’il quitte la vie politique, la coalition de droite sera difficile, mais possible puisqu’il n’y aura plus d’incompatibilité avec le “chef”.
Au bénéfice de ce gouvernement improbable, il faut reconnaitre un calme dans le sud, la fin du tav yarok, la fin du port du masque et la quasi impossibilité d’un confinement et surtout la fin de l’obligation de l’injection de cette expérimentation inefficace (Pfizer).
Il y a aussi de nombreux points négatifs, mais par sa faiblesse et son incapacité à gérer la crise du corona, avec l’aide belliciste de Poutine, nous vivons enfin comme nous aurions toujours du vivre : avec nos libertés sans restrictions et je ne peux qu’être heureux de vivre comme avant 2020 (et sans Bibi).
Le scénario prédit plusieurs fois déjà dans ce forum:
Les intervenants qui ont traité Mansour de porc le cacheriseront.
Il se transformera en colombe.
Mansour savait qu’il serait sollicité c’est pourquoi il n’à pas divulgué les propositions de bibi avant les dernières élections.
Il est certain que lesdits intervenants présenteront toutes leurs excuses au gouvernement Bennet
J ai traite mansour de porc et croyez moi je ne me donnerais meme pas la peine de le cacheriser, il n est pas cacherisable !!! Le porc ne savait rien du tout et toutes vos conclusions c est un paquet de conneries …. pour etre polie !