Depuis de long mois, l’ancien Premier ministre Ehoud Barak lance des attaques au vitriol contre Binyamin Netanyahou, l’accusant notamment “de mettre en danger la démocratie, le système judiciaire et l’Etat de droit”.
Mais il a suffi d’une rumeur pour qu’Ehoud Barak se livre soudain à une attaque en règle contre l’une des institutions principales de l’Etat de droit: le conseiller juridique du gouvernement Avihaï Mandelblit. Selon certaines informations qui ont filtré, ce dernier aurait l’intention de ne pas mettre en examen le Premier ministre dans le dossier 2000, qui concerne ses rencontres avec Noni Moses, propriétaire de Yediot Aharonot, et ceci contre l’avis de la police et du Parquet.
Il n’en fallait pas plus pour qu’Ehoud Barak quitte son uniforme de défenseur des institutions pour revêtir celui de procureur. Il a accusé le conseiller juridique du gouvernement de “faire volontairement traîner les dossiers concernant le Premier ministre”, et a demandé la création d’une commission d’enquête nationale. Mais il a surtout eu des mots très durs envers le conseiller juridique: “C’est un homme indigne, son attitude est une honte et un opprobre”. Des termes extrêmes que Binyamin Netanyahou n’a jamais employé envers les membres du système judiciaire.
Cette réaction d’Ehoud Barak laisse imaginer quelles seraient celles de la gauche au cas où le conseiller juridique décidait finalement de n’inculper le Premier ministre dans aucune des affaires le concernant.
Les preux défenseurs de l’Etat de droit changent vite de fusil d’épaule dès lors que les magistrats ne prennent pas les décisions qu’ils souhaitent.
Photo Flash 90
Mon problême, ma question restent : pourquoi les journalistes continuent à nous informer presque au jour le jour des propos sans intérêt de ce barbu sans aucun intérêt?Bon ,il a été ,dans le passé, un personnage central dans la marche de notre Etat.Mais , en gros, sans grandeur ni valeur.Un militaire à la retraite comme ,à présent et dans passé, nous en avons eu et en avons à en revendre. Encore un qui pense qu’un pays se mène comme une armée.Les truffions n’ont d’ intérêt que le jour des élections .On peut leur raconter n’importe quoi pour qu’ils acceptent la loi des officiers supérieurs.Après cela,en tout cas, ils seront occupés à nettoyer les chiottes et faire les exercices en ne rêvant que de rentrer chez papa-maman dormir tout leur saoul.Vive l’armée et fermez votre gueule,les truffions! Les affaires importantes ne sont pas de votre ressort mais de celui des ces officiers pleins d’eux-mêmes.Dans certains pays cela s’appelle “dictature militaire”quand, même le jour du truffion,celui des élections, n’a plus aucun interêt et disparait de l”agenda.
IL A ÉTÉ UN GÉNÉRAL MAIS UN MAUVAIS POLITIQUE IL PERSISTE DANS LA MÉDIOCRITÉ POLTICIENNE.
QUELLE DÉCHÉANCE POUR UN ÉTOILÉ
Comme disait ma Grande-Mere: A chacun son métier !
Comme disait ma Grande-Mere, A chacun son métier !
Et si le procureur allait dans le sens de l’inculpation, cala permettrait à la justice de statuer.
Ergotter et prendre le temps donne un sentiment de louche
Nous ne sommes pas n’importe qui, nous avons une vocation d’exemple, et nous avons le devoir d’inspirer par l’exemple. Donc il ne faut pas avoir peur d’aller au devant du système judiciaire, et Mr Barak me semble être dans la vérité dans ce cas.
Cet ancien premier ministre a laissé la sinistre image de tsahal en déroute quand il a ordonné le retrait précipité et désordonné du Liban en laissant armes et véhicules à l’arrière !
De plus il avait offert Jérusalem sur un plateau à Arafat qui, grâce à D… Et D… Seul, l’a refusé !!!
On n’ose imaginer qu’elle serait notre situation si Arafat de sinistre mémoire avait accepté le cadeau de Barack.
Alors il n’a qu’une chose à faire c’est se faire oublier au lieu d’être obsédé d’une seule et unique chose, celle de salir Netanyahou.
Cet ancien général et politicien corrompu mérite d’aller au diable et qu’on n’entende plus jamais parler de lui.
En plus sur I24 on nous refile souvent la séquence durant laquelle, Lui et le hideux abou amar le terroriste, se congratulaient. Quel passage pénible que cette conférence qui a couté la vie de dizaines de nos compatriotes. En laissant d’une manière des plus honteuses, l’armée du Liban sud pour avoir retirer Tsahal du Liban, il a commis une énorme erreur, que nous payons encore aujourd’hui. C’est un classique, ça ne rate jamais, chaque fois qu’un militaire s’adonne à la politique, c’est un désastre pour le pays. Ex: Dayan qui confie les clefs du mont du temple à la Jordanie, Sharon qui se retire honteusement de gaza, de la même manière que barak du Liban sud.