Il y a 15 ans, le 11 septembre 2001, les tours jumelles de New York volaient en éclats, suite à l’attentat le plus meurtrier et le plus impressionnant de l’histoire des USA. Plus de 3000 morts en quelques heures, de la manière la plus terrible qui soit, en direct. On se souvient tous des décisions, alors, de lutter sans merci contre le terrorisme, sans aucun compromis. Depuis, le monde a bien changé, mais a-t-il réellement avancé ?
Le camp des bons s’est affaibli, pour laisser place au camp des moins bons, des méchants, des cruels, des sanguinaires et surtout des faibles qui ferment les yeux, ou pire, qui coopèrent.
Assad a relevé la tête avec la bénédiction de la Russie et des USA. Mabrouk ! L’Arabie Saoudite est le partenaire privilégié de l’Amérique alors qu’elle était entièrement impliquée dans l’attentat du 11 septembre. L’Iran profite du chaos général et de l’absence de police sur sa route, pour remonter en puissance, et revenir à son programme nucléaire, menaçant directement l’Etat d’Israël. La Turquie fait les yeux doux aux Perses tout en signant au même moment un accord pour rétablir ses relations avec l’Etat juif. Allez comprendre !…
L’Europe est en train de subir la plus grande invasion de son histoire par le monde arabe, invasion qui a déjà commencé à imposer ses lois vestimentaires, culinaires et autres lois ‘’religieuses’’. Aujourd’hui, le « politically correct » tue les gouvernants et les gouvernements. Au nom de cet humanisme ravageur, l’extrémisme le plus barbare a pu prendre tranquillement place dans les sociétés modernes, qui collaborent tout naturellement avec le terrorisme. On trouvera toujours un ‘’isme’’ pour distinguer les bons des mauvais dans l’islam. Au nom de cet ”isme”, les bons se taisent devant les exactions des mauvais et la passivité suicidaire des Occidentaux. Tous les Zemmour de la terre ne suffiraient pas à réveiller les Obamistes de leur torpeur insensée.
Mais le pire est devant nous : cet aveuglement vis-à-vis d’Israël – la seule démocratie au monde qui a su gérer les diverses religions dans une harmonie exemplaire. On nous parle de deux Etat, l’un sans Juifs, comme en 1939, et l’autre binational où les Juifs auront le droit de vivre avec les Arabes.
La plaisanterie a assez duré. Dans ce chaos généralisé qui va en empirant, Israël doit partir en guerre. La guerre pour sa vie, pour son avenir.
Israël est relié au peuple juif. Depuis des milliers d’années, notre peuple a prié et lutté pour le retour à la maison. Tous nos ennemis ont souillé notre terre, laissant derrière eux mort et désolation. Notre retour dans notre patrie a entrainé dans son sillage essor économique, social, démocratique. Israël apporte au monde une lumière bienfaitrice quand ce dernier voudrait l’atténuer, voire l’éteindre. Hevron, Bet El, Jérusalem, Tel Aviv… tout cela nous appartient, et personne n’est en droit de déloger un seul Juif de sa maison.
Nous savons vivre en paix avec qui le désire. Mais nous avons aussi le courage de faire la guerre contre ceux qui veulent notre place.