L’enquête sur le tir ami qui a conduit à la mort d’un combattant de Tsahal cette nuit à Toulkarem se poursuit.
Le combattant qui a tiré sur son ami a raconté à ses officiers le déroulement des faits. D’après sa version des faits, le soldat victime du tir s’était absenté de son poste de contrôle pour aller prier et en avait informé son binôme. Lorsqu’il est revenu, le bruit a alerté le soldat resté en place qui a cru qu’un terroriste s’approchait.
Il a alors appliqué les règles d’usage dans un pareil cas, d’après le porte-parole de Tsahal, ce qui comprend un tir en l’air et dans les jambes. Il a tiré deux balles dans sa direction, l’une d’entre elles a été fatale.
D’après la radio Galei Tsahal, une distance de 10 à 20 mètres, dans l’obscurité totale, séparait les deux soldats au moment du tir.
L’enquête se poursuit, les éléments recueillis sur place vont être confrontés à la version du soldat auteur du tir. L’armée veut comprendre exactement ce qu’il s’est passé sur place et dans la tête du soldat pour expliquer comment un tel drame a pu se produire.
Je m’adresse aux généraux de “Tsahal” : Israël est entouré d’ennemi que en veulent à son existence, comment peut-on donner une garde de huit heures d’affilée à des jeunes qui peut être fatigante pour les nerfs, ou dans certains cas fastidieuse et ennuyeuse par sa longueur ?
Il faut réduire ces durée à quatre heures au plus ! ! ! !
Dans mon temps la garde était de 4 heures et on avait un mot de passe à notre disposition. Mais la nuit le plus petit bruit était suspect et evidemment les nerfs peuvent lâcher.