D’après les premiers éléments de l’enquête menée par Tsahal, le drone qui a servi à attaquer la base Golani à Binyamina hier (dimanche) est un drone de type Sayyad 107. Le résultat de cette attaque est dramatique: quatre soldats tués et plus de 50 blessés après que le drone s’est abattu sur le réfectoire de la base au moment du dîner.
D’origine iranienne, ce drone est fabrique désormais sur le sol libanais par le Hezbollah.
La trajectoire du Sayyad 107 peut être programmée de manière à ce qu’il change fréquemment d’altitude et de direction, ce qui rend difficile sa détection et son suivi. Il atteint une portée de 100 kilomètres, est petit et renvoie un écho radar très faible, contrairement aux gros drones qui sont en métal. La détection est possible grâce à la chaleur émise par le moteur, mais elle est également difficile à détecter par des moyens optiques.
Il apparait également que le Hezbollah a réussi à saturer les systèmes de détection de la défense anti-aérienne israélienne en tirant, parallèlement au lancer de deux drones, une salve de roquettes sur la Galilée.
Les deux drones ont été pris en chasse par des avions et des hélicoptères de chasse mais alors que l’un d’entre eux a pu être intercepté, le second a brusquement disparu des radars. Le drone a pu être préprogrammé pour piquer brusquement vers le sol ou vers la mer et continuer à voler à basse altitude et ainsi échapper aux radars.
Le Hezbollah possède de nombreux drones de ce type. Tsahal a détruit bon nombre d’entre eux lors de ses différents raids au Liban, mais la capacité de nuisance de l’organisation terroriste existe toujours comme l’a montré le dramatique événement d’hier soir à Binyamina.
La problématique des drones est centrale dans la guerre actuelle. Il s’agit d’armes d’un nouveau genre contre lesquelles aucune solution satisfaisante n’a encore été trouvée. Les drones sont petits, volent bas et lentement, et même les moyens de détection optique ont du mal à les identifier et tous les capteurs, radars optiques et autres ne parviennent pas à les repérer.
L’armée israélienne et les industries de défense tentent de trouver une solution au problème, surtout depuis le début de la guerre actuelle.
Feu vert, il faut foncer sur le Liban d’abord et tant pis pour la population.
Puis sur l’Iran ensuite, en s’appuyant sur la population.
Les hocquets des dirigeants occidentaux finiront par se calmer. Qu’ils boivent 7 fois ss respirer !
Il faut détruire une ville chiite au Liban. Populace comprise. Il est temps de mener une guerre d’anéantissement contre nos ennemis. Jusqu’au dernier.
Si si. Il y a une solution. Je sais qu’à Nahariah, elle a été mise en place, et dans d’autres villes du nord également, mais ils ne sont pas encore mis en mode opérationnel, probablement pour ménager un effet de “surprise”, ce qui nous coûte cher aujourd’hui, Barou’h Dayan Haemet !
Ils seront vengés, assurément.
Une seul solution RASE LE LIBAN occupé par le Hezbollah