Les fêtes de Tichri approchent et le commerce des étrogim (cédrat) aussi. Un touriste britannique a été intercepté et contrôlé aux douanes de l’aéroport Ben-Gourion qui ont découvert qu’il transportait avec lui 108 étrogim non-déclarés, d’une valeur de 13.000 shekels. L’importation de ce genre de produits nécessite l’autorisation du ministère de l’Agriculture et elle est soumise à une taxe de 37%. L’importation privée des trois autres espèces (loulav, hadass et arava) est interdite pour des raisons d’hygiène publique.
Photo Nati Shohat