« Il n’y a qu’une seule façon d’éviter les critiques : ne rien faire, ne rien dire, et n’être rien. » (Aristote)
Tous deux s’appellent Albert. Tous deux sont juifs et leurs destins sont liés à la Shoa. Ils ont bouleversé le monde par leur génie : l’un par la formulation de la théorie de la relati- vité et l’invention de la bombe atomique, l’autre par la découverte du vaccin de la vie. Einstein et Bourla ont également en commun
l’amour d’Israël et de leur peuple.
Bourla est né à Salonique. Il nous permet, après un an de doutes et de maladie, de rechanter l’Hatikva. En privilégiant Israël, il a fait de nous, en cette veille de Pessah, des hommes à nouveau libres. À présent que son peuple a reçu la manne du ciel, Albert va pouvoir s’occuper du reste de la planète, avec son ami Tal Zaks qui est à l’ori- gine du vaccin Moderna. Le BDS n’a pas appelé au boycott du remède miracle… Qui l’écouterait ?
En quelques jours, Israël a presque effacé de sa mémoire cette année éprouvante. La vie a repris, comme par enchantement. On re- découvre les terrasses et l’on retourne au spectacle. On n’y croyait plus… Alors que l’Europe voit rouge, la Terre sainte passe au vert. Albert Bourla peut être fier d’appartenir à la lignée de Moshé Rabbénou. Grâce à son inspiration et à sa modestie, il va nous guider vers une véritable sortie d’Égypte. Merci, Albert !
Du coup, nous ne nous préoccupons plus de l’essentiel …