Pour la première fois depuis l’annonce officielle des résultats des élections, Naftali Benett s’est exprimé à propos de la cuisante défaite subie par son parti, la Nouvelle Droite.
Lors de conversations avec des proches et des militants, le ministre de l’Education sortant a fait son mea culpa: “Nous avons commis une erreur monumentale en créant ce nouveau parti. Dans mes pires cauchemars je n’imaginais pas que cette campagne s’achèverait de la sorte, et que nous obtiendrions moins de sièges que l’Union de la Droite. Ce fut une surprise totale”.
Naftali Benett a également évoqué Ayelet Shaked et l’immense déception qu’elle a dû ressentir, puisque c’est lui qui l’avait convaincue de quitter Habayit Hayehoudi pour l’entraîner dans cette aventure qui s’est terminée en fiasco: “Je ne peux plus la regarder dans les yeux. Mais ceci dit, je suis de nature optimiste et je continuerai à agir en faveur de mon pays”.
Cette dernière phrase confirme la crise de confiance qui a brisé ce tandem prometteur.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
Je sais que beaucoup ne vont pas aimer ce que je vais écrire ici.
Mais je pense clairement que, malgré l’excellent travail accompli, ce tandem mérite de tomber dans les oubliettes de la politique.
La raison est simple. Ils étaient au gouvernement. Ils ont pu voir de leur yeux comment Bibi dirige de main de maitre le pays (mais je ne vote pas Likoud non plus). Les sondages avant la division n’étaient pas à la hauteur du travail qu’ils ont accompli. Ils se sont lancé à l’aventure en faisant perdre de précieuse voix à la vraie droite.
C’est une erreur tactique et stratégique monumentale. Les places des élus (sans affreux jeux de mots) étant rare, nul doute qu’ils auront du mal à remonter la pente.
J’en conclue que lorsque l’on a atteint un certain niveau et que l’on perd tout, il s’agit d’un manque flagrant de maturité. Donc, ils ont perdu la confiance que l’on pouvait leur accorder et tout crédit par la même occasion.
Hag Saméah.
Victimes du “système” très “4ème Rep”en fonction en Israël, ils avaient créé un parti de plus, avec mission “votez pour moi”. Le seuil n’a pas été atteint et les personnes les plus dynamiques de la Droite sont éliminées. Bon débarras, doit se dire Mr Nétanyahou qui supporte les aiguillons, mais préfère qu’il y en ait moins… Une Traversée du Désert pour Mme Shaked qui pour l’instant, sur l’ensemble de l’échiquier politique en Israël me paraît avoir une étoffe à la hauteur. Dommage qu’elle soit à droite, mais à gauche, personne n’a son niveau!..
François, je suis d’accord sur ton comment sauf la dernière phrase. Il y a des gens bien et honorables de tous les côtés et regretter qu’on ne soit pas en phase avec toi est dommage. Elle a plus de valeur à droite qu’à gauche est ma position, mais même si elle était à gauche, cela ne diminuerait pas sa valeur.
Le seul inconvénient est qu’il est quasi impossible de faire valoir ses bons côtés à gauche, à cause de la stupidité de l’égalitarisme idéologique. Et ce postulat ne peut pas être compris par les gauchistes par leur aveuglement intellectuel et idolâtre…
Shaked se retrouvera dans le bon camp dans peu de temps….et c’est ce que je lui souhaite ! !
[email protected], évangélique français mi inconditionnel d’Israël.
L’égalitarisme est une simplification “populiste” que l’on retrouve aussi bien à droite qu’à gauche. Donner une égalité de chances ne veut pas dire un nivellement par le bas trop souvent pris comme solution “miracle”.
La Gauche a des valeurs universelles, peut-être moins”conservatrices” que la droite, moins axées sur le libéralisme économique non régulé, elle n’oublie pas l’Histoire , mais n’en fait pas un étendard, il faut aller de l’avant, construire ne pas se morfondre dans le “catastrophisme”si mortifère au Proche-Orient.”L’aveuglement intellectuel et idolâtre” fait partie des faiblesses humaines, de gauche comme de droite, il faut s’en dégager…
Tout d’abord ces propos ne sont que des propos rapportés par des soi-disant proches (non identifiés qui plus est) de Naftali Bennett. Ensuite, ils ont été aussitôt démentis par le porte-parole de l’intéressé. Et j’ai plutôt tendance à le croire. En effet, je vois bien Naftali Bennet reconnaître des erreurs dans sa stratégie de campagne (qui pourtant avait bien démarré) qui a manqué de cibler ses vrais objectifs, s’est beaucoup trop concentré sur l’obtention de certains postes ministériels s’écartant de sa vraie force idéologique et surtout n’a pas du tout mis en valeur la richesse de sa liste. Enfin ils n’ont pas su créer d’événement populaire, de rassemblements, de meetings…. par peur de manquer de public ?
Quant à ses rapports avec Ayelet Shaked, qui peut prétendre savoir aujourd’hui où ils en sont ? Aucun des deux ne s’est exprimé à ce jour sur ce sujet, ni lui, ni elle. Depuis le début (de cette annonce décevante de résultat), tous les médias et les hommes politiques de Habayt Hayeudi et du Likoud réunis, essayent de nous vendre un Naftali Bennet manipulateur mais aujourd’hui fini politiquement et qui n’a qu’à retourner à sa chère High-tech, genre “bon débarras”, et une pauvre Ayelet Shaked “trompée”, “abusée”, “entraînée” bien malgré elle dans une aventure dont elle ne voulait pas, et pourtant vendue aujourd’hui comme populaire et adulée et qui n’aurait qu’à lever le petit doigt pour devenir la numéro un là où elle voudrait. Tout d’abord si elle était si populaire, ils auraient sûrement fait plus de voix. Ensuite, il faudrait savoir : ou c’est une femme forte, déterminée, avec un fort potentiel à prétendre demain assurer la succession de Netanyahou et ça ne colle pas avec cette image de suiveuse abusée, ou elle s’est effectivement laissée entraîner et cela dénote un manque réel de charisme, de savoir s’imposer et defendre son point de vue. Rien d’une chef donc. En tous cas, sur un plan strictement “féministe”, cette image que l’on veut donner d’elle est proprement insultante et machiste. Une femme politique serait donc incapable d’assumer la défaite, de reconnaître en avoir sa part ; elle ne pourrait qu’avoir subi !?
Je pense qu’il y a plutôt là un travail de sape de tous ceux qui pressentent le danger que représente Bennett, un vrai leader charismatique et entraînant qui a des idées et des méthodes neuves sur et pour la politique israélienne. On essaye de les séparer, d’introduire le venin de l’ambition personnelle chez Ayelet Shaked pour mieux les diviser et neutraliser le danger Bennett. Et ce n’est pas parce que celui-ci a raté sa campagne que son projet est mort-né. Au contraire, tous ceux qui l’annoncent déjà à la retraite politique aujourd’hui se hâtent de l’enterrer pour mieux nous faire oublier ce que représentait cette idée d’un vrai parti idéologique à droite (et ne me parlez pas d’idéologie au Likoud… Depuis Begin et Shamir, ce parti s’est toujours vendu au plus offrant à condition de garder le pouvoir) faisant travailler ensemble hilonim et datiim sur un vrai projet de société. Si Bennett en a l’envie, il saura renaître de ces cendres. Et je ne saurais trop lui conseiller de méditer le poème de Rudyard Kipling “Si tu es un homme mon fils”… Il n’aura au départ qu’à s’appuyer sur l’admiration et l’énergie enthousiaste qu’il a su créer autour de lui dans les jours qui ont suivi la défaite au cours de son opération “à la recherche de toutes les voix”. Pas couronnée de succès on le sait mais qui a su fédérer des centaines de bonnes volontés dont beaucoup ont témoigné sur divers supports de l’exemplarité de son discours, de la sincérité de son action et pour finir de son fair-play et de son sens des responsabilités. Notez la différence de sa réaction qui a endossé l’entière responsabilité de la défaite avec celle de Feiglin qui a accusé la terre entière de sa déconvenue. Non Israël n’a pas les moyens humains de se passer d’un leader de cette envergure.
Tout d’abord ces propos ne sont que des propos rapportés par des soi-disant proches (non identifiés qui plus est) de Naftali Bennett. Ensuite, ils ont été aussitôt démentis par le porte-parole de l’intéressé. Et j’ai plutôt tendance à le croire. En effet, je vois bien Naftali Bennet reconnaître des erreurs dans sa stratégie de campagne (qui pourtant avait bien démarré) qui a manqué de cibler ses vrais objectifs, s’est beaucoup trop concentré sur l’obtention de certains postes ministériels s’écartant de sa vraie force idéologique et surtout n’a pas du tout mis en valeur la richesse de sa liste. Enfin ils n’ont pas su créer d’événement populaire, de rassemblements, de meetings…. par peur de manquer de public ? Il a pu éventuellement regretter la manière brutale et soudaine dont il a quitté Habayt Hayeudi et qui a provoqué un tel rejet à son encontre. Mais je ne l’imagine pas un seul instant désavouer la démarche qui a toujours été là sienne depuis qu’il est rentré en politique.
Quant à ses rapports avec Ayelet Shaked, qui peut prétendre savoir aujourd’hui où ils en sont ? Aucun des deux ne s’est exprimé à ce jour sur ce sujet, ni lui, ni elle. Depuis le début (de cette annonce décevante de résultat), tous les médias et les hommes politiques de Habayt Hayeudi et du Likoud réunis, essayent de nous vendre un Naftali Bennet manipulateur mais aujourd’hui fini politiquement et qui n’a qu’à retourner à sa chère High-tech, genre “bon débarras”, et une pauvre Ayelet Shaked “trompée”, “abusée”, “entraînée” bien malgré elle dans une aventure dont elle ne voulait pas, et pourtant vendue aujourd’hui comme populaire et adulée et qui n’aurait qu’à lever le petit doigt pour devenir la numéro un là où elle voudrait. Tout d’abord si elle était si populaire, ils auraient sûrement fait plus de voix. Ensuite, il faudrait savoir : ou c’est une femme de caractère, déterminée, avec un fort potentiel à prétendre demain assurer la succession de Netanyahou et ça ne colle pas avec cette image de suiveuse abusée, ou elle s’est effectivement laissée entraîner et cela dénote un manque réel de charisme, de savoir s’imposer et defendre son point de vue. Rien d’une chef donc. En tous cas, sur un plan strictement “féministe”, cette image que l’on veut donner d’elle est proprement insultante et machiste. Une femme politique serait donc incapable d’assumer la défaite, de reconnaître en avoir sa part ; elle ne pourrait qu’avoir subi !?
Je pense qu’il y a plutôt là un travail de sape de tous ceux qui pressentent le danger que représente Bennett, un vrai leader charismatique et entraînant qui a des idées et des méthodes neuves sur et pour la politique israélienne. On essaye de les séparer, d’introduire le venin de l’ambition personnelle chez Ayelet Shaked pour mieux les diviser et neutraliser le danger Bennett. Et ce n’est pas parce que celui-ci a raté sa campagne que son projet est mort-né. Au contraire, tous ceux qui l’annoncent déjà à la retraite politique, se hâtent de l’enterrer pour mieux nous faire oublier ce que représentait cette idée d’un vrai parti idéologique à droite (et ne me parlez pas d’idéologie au Likoud… en dehors de Begin et Shamir, ce parti s’est toujours vendu au plus offrant à condition de garder le pouvoir) faisant travailler ensemble hilonim et datiim sur un vrai projet de société. Si Bennett en a l’envie, il saura renaître de ces cendres. Et je ne saurais trop lui conseiller de méditer le poème de Rudyard Kipling “Si tu es un homme mon fils”… Il n’aura au départ qu’à s’appuyer sur l’admiration et l’énergie enthousiaste qu’il a su créer autour de lui dans les jours qui ont suivi la défaite au cours de son opération “à la recherche de toutes les voix”. Pas couronnée de succès on le sait mais qui a su fédérer des centaines de bonnes volontés venus de tout le pays de tous les horizons dont beaucoup ont témoigné sur divers supports de l’exemplarité de son discours, de la sincérité de son action et pour finir de son fair-play et de son sens des responsabilités. Notez la différence de sa réaction qui a endossé l’entière responsabilité de la défaite avec celle de Feiglin qui a accusé la terre entière de sa déconvenue. Autre élément à souligner et non des moindres : vous pouvez reprendre tous les propos, tous les écrits de Naftali Bennet, vous ne trouverez jamais une injure, une insulte, une attaque ad hominem à l’encontre d’un de ses adversaires politiques ou de ses anciens coéquipiers de Habayt Hayeudi ; malgré les tombereaux d’ordures qui ont été déversés sur lui (dont beaucoup de la part de gens qui se prétendent shomrei mitsvot) il n’a toujours critiqué que sur le fond, les actes, l’idéologie. Il n’y a qu’à voir le silence mutique qu’il s’impose (de même qu’Ayalet Shaked) sur ce qui s’est réellement passé à l’époque où il a travaillé pour Netanyahou entre 2007 et 2009. Les multiples sollicitations et pièges des journalistes n’y ont rien fait, il n’a jamais bronché. C’est difficile de rester “propre” et de savoir tenir sa langue dans le monde politique. Ces deux-là sont un exemple en la matière.
Non Israël n’a pas les moyens humains de se passer de deux leaders de cette envergure, de l’un comme de l’autre.
Tout d’abord ces propos ne sont que des propos rapportés par des soi-disant proches (non identifiés qui plus est) de Naftali Bennett. Ensuite, ils ont été aussitôt démentis par le porte-parole de l’intéressé. Et j’ai plutôt tendance à le croire. En effet, je vois bien Naftali Bennet reconnaître des erreurs dans sa stratégie de campagne (qui pourtant avait bien démarré) qui a manqué de cibler ses vrais objectifs, s’est beaucoup trop concentré sur l’obtention de certains postes ministériels s’écartant de sa vraie force idéologique et surtout n’a pas du tout mis en valeur la richesse de sa liste. Enfin ils n’ont pas su créer d’événement populaire, de rassemblements, de meetings…. par peur de manquer de public ? Il a pu éventuellement regretter la manière brutale et soudaine dont il a quitté Habayt Hayeudi et qui a provoqué un tel rejet à son encontre. Mais je ne l’imagine pas un seul instant désavouer la démarche qui a toujours été là sienne depuis qu’il est rentré en politique.
Quant à ses rapports avec Ayelet Shaked, qui peut prétendre savoir aujourd’hui où ils en sont ? Aucun des deux ne s’est exprimé à ce jour sur ce sujet, ni lui, ni elle. Depuis le début (de cette annonce décevante de résultat), tous les médias et les hommes politiques de Habayt Hayeudi et du Likoud réunis, essayent de nous vendre un Naftali Bennet manipulateur mais aujourd’hui fini politiquement et qui n’a qu’à retourner à sa chère High-tech, genre “bon débarras”, et une pauvre Ayelet Shaked “trompée”, “abusée”, “entraînée” bien malgré elle dans une aventure dont elle ne voulait pas, et pourtant vendue aujourd’hui comme populaire et adulée et qui n’aurait qu’à lever le petit doigt pour devenir la numéro un là où elle voudrait. Tout d’abord si elle était si populaire, ils auraient sûrement fait plus de voix. Ensuite, il faudrait savoir : ou c’est une femme de caractère, déterminée, avec un fort potentiel à prétendre demain assurer la succession de Netanyahou et ça ne colle pas avec cette image de suiveuse abusée, ou elle s’est effectivement laissée entraîner et cela dénote un manque réel de charisme, de savoir s’imposer et défendre son point de vue. Rien d’une chef donc. Qui plus est, sur un plan strictement “féministe”, cette image que l’on veut donner d’elle est proprement insultante et machiste. Une femme politique serait donc incapable d’assumer la défaite, de reconnaître en avoir sa part ; elle ne pourrait qu’avoir subi !?
Je pense qu’il y a plutôt là un travail de sape de tous ceux qui pressentent le danger que représente Bennett, un vrai leader charismatique et entraînant qui a des idées et des méthodes neuves sur et pour la politique israélienne. On essaye de les séparer, d’introduire le venin de l’ambition personnelle chez Ayelet Shaked pour mieux les diviser et neutraliser le danger Bennett. Et ce n’est pas parce que celui-ci a raté sa campagne que son projet est mort-né. Au contraire, tous ceux qui l’annoncent déjà à la retraite politique, se hâtent de l’enterrer pour mieux nous faire oublier ce que représentait cette idée d’un vrai parti idéologique à droite (et ne me parlez pas d’idéologie au Likoud… en dehors de Begin et Shamir, ce parti s’est toujours vendu au plus offrant à condition de garder le pouvoir tout en ne réalisant rien de ses prétendues positions à droite) faisant travailler ensemble hilonim et datiim sur un vrai projet de société. Si Bennett en a l’envie, il saura renaître de ces cendres. Et je ne saurais trop lui conseiller de méditer le poème de Rudyard Kipling “Si tu es un homme mon fils”… Il n’aura au départ qu’à s’appuyer sur l’admiration et l’énergie enthousiaste qu’il a su créer autour de lui dans les jours qui ont suivi la défaite au cours de son opération “à la recherche de toutes les voix”. Pas couronnée de succès on le sait mais qui a su fédérer des centaines de bonnes volontés venus de tout le pays de tous les horizons dont beaucoup ont témoigné sur divers supports de l’exemplarité de son discours, de la sincérité de son action et pour finir de son fair-play et de son sens des responsabilités. Notez la différence de sa réaction, lui qui a endossé l’entière responsabilité de la défaite, avec celle de Feiglin qui a accusé la terre entière de sa déconvenue. Autre élément à souligner et non des moindres : vous pouvez reprendre tous les propos, tous les écrits de Naftali Bennet, vous ne trouverez jamais une injure, une insulte, une attaque ad hominem à l’encontre d’un de ses adversaires politiques ou de ses anciens coéquipiers de Habayt Hayeudi ; malgré les tombereaux d’ordures qui ont été déversés sur lui (dont beaucoup de la part de gens qui se prétendent shomrei mitsvot) il n’a toujours critiqué que sur le fond, les actes, l’idéologie. Il n’y a qu’à voir le silence mutique qu’il s’impose (de même qu’Ayalet Shaked) sur ce qui s’est réellement passé à l’époque où il a travaillé pour Netanyahou entre 2007 et 2009 (et qui lui vaut une haine tenace de la part de Bibi). Les multiples sollicitations et pièges des journalistes n’y ont rien fait, il n’a jamais bronché. C’est difficile de rester “propre” et de savoir tenir sa langue dans le monde politique. Ces deux-là sont un exemple en la matière.
Non Israël n’a pas les moyens humains de se passer de deux leaders de cette envergure, de l’un comme de l’autre.