L’ancien ministre de la Défense Moshé Yaalon aurait mieux fait de se taire au lieu de commenter comme il l’a fait le verdict dans l’affaire El-Or Azaria.
Dans un message enregistré et diffusé sur sa page Facebook, l’ancien ministre s’en est pris « à des politiciens qui ont trahi leur rôle et exploité le sergent El-Or et sa famille à des fins politiques en pensant engranger quelques mandats suppplémentaires ». Il n’est pas difficile de déceler qu’il visait des hommes politiques tels que Naftali Benett ou Oren Hazan. Moshé Yaalon est allé jusqu’à accuser ces politiciens d’être responsables de la longueur exceptionnelle de ce procès et de la détresse dans laquelle se trouve la famille Azaria depuis le début de la procédure. « J’ai honte de ces hommes politiques », ose-t-il rajouter dans son message.
Dans la suite de son message, Moshé Yaalon a avoué sans le vouloir le fin-fond de sa pensée: « En tant que soldat durant 37 ans, en tant qu’ancien chef d’Etat-major et ministre de la Défense, je lance un appel à toutes celles et ceux qui s’occupent de la sécurité d’Israël de continuer à agir avec détermination face à nos ennemis mais tout en préservant nos valeurs morales. C’est notre singularité comme pays qui veut être un exemple devant les nations. C’est la source de notre force, et c’est notre grandeur… ». Une nouvelle fois, le complexe du « que vont dire les non-juifs » typique de l’esprit juif diasporique.
Le message se termine par une profession de foi politique de celui qui a annoncé vouloir diriger un jour le pays.
Moshé Yaalon est le dernier qui puisse dénoncer les autres politiciens dans cette affaire, car c’est lui, avec son autorité morale de ministre de la Défense, qui était monté à la tribune de la Knesset au lendemain de l’incident de Hevron et qui avait lancé un sévère acte d’accusation contre El-Or Azaria, avant même que la moindre enquête n’ait commencé. C’est sa déclaration – très controversée à l’époque- puis les propos du chef d’Etat-major, qui avaient insufflé l’esprit et la direction vers laquelle devait se dérouler ensuite tout le procès.
Photo Miriam Alster / Flash 90
Ce procès n`est pas juste
Les attendus du tribunal sont faussés dès le départ.
1/ ce procès n`aurait pas dû tout avoir lieu, tout au plus arrêté dès le commencement apprêt qu`il ait été décidé sou la pression du ministre de la défense et du chef de l`armée qui ont dès les premiers instants condamné le soldat.
2/ le tribunal a pris en compte que les faits racontes par le soldat, il a perdu la tête sous le feu d`une action le dépassant, pris de peur par ses supérieure et des medias qui d`avance l`ont accusé de meurtre il a dit n`importe quoi et changé de version selon ce qu`il convenait pour sa défense.
j`expose ici pourquoi je dis que les attendus du tribunal ont étés faussés.
1/ ils ont étés vu que sur l`angle du tire directe à la tête du terroriste.
Je dis qu`il y a ici abus de confiance de la part du tribunal après qu`il apparait clairement que ce tire a été effectuer d`emblé sur un doute évidant et prouvé par les vidéos et les témoins. En effet, la version qui dit que le soldat aurait pensé que le terroriste n`était pas mort ceci et prouve par l`autopsie accepte par les juges, donc dans ce cas de figure, le doute du danger présent qui a assailli le soldat était réel et devient évident sur tous les points. Ce raisonnement aurait dû être pris au sérieux dans les attendus du verdict. Les juges n`avaient pas à prendre en compte, en tous cas pour le jugement lui-même, la malheureuse pensé sur la déclaration du soldat qui s`emblerait lui donner l`envie de se venger, celle-ci et à prendre en compte seulement sur l`état mental du soldat dans le feu de l`action qui n`a devant lui qu’une petite seconde et pas plus pour donner une réponse salvatrice a la vrai situation devant laquelle il se trouve et cette pensé n`a fait que l`aider à agir comme il le fallait.
Bien sûr et après coup, il a été facile aux juges manipulés par les medias tout au long du procès, de prendre à la lettre les déclarations du soldat et juger selon les fait rapportés comme ils croyaient bien le faire.
Il faut rajouter a ce drame, que du fait que ce soldat a été envoyé en service par son officié sur un emplacement dangereux et devant lequel des faits de ce genre peuvent se passer à tout instant, il est à prendre en compte que le soldat peut faire des erreurs sur les consignes de tire ou autres comportements et que cette prise en charge le dédouane de toutes responsabilisées pénal. De ce fait, le soldat n`aurait pas du tout être jugé par un tribunal, mais plus justement comparaitre devant une commission d`éthique y compris ses supérieures, afin de répondre a toute ces questions de la manière la plus élémentaire.
Ce jugement doit être purement et simplement annuler !
Je suis tout à fait d’accord avec zoro , qui en plus mes un doute aux autres militaires ,mais le plus important ce soldat n’est pas venu a l’armée de son propre gré il est enrôlé par le service obligatoire on ne lui laisse pas option ,il n’est pas un professionnel , comment ses juges peuvent jugée un soldat non professionnel qui eux mêmes sont des professionnels ,ils savent se mettre à la place de ce petit jeune de 19 ans
Ce militaire n’a pas compris que les juifs disent noir ou blanc le monde est entier le leur reprochera. Donc laissez les aboyer M. Yaalon.
« un exemple parmi les Nations » est un idéal jamais atteint car il a toujours « un talon d’Achille ».
Yaalon lui-même n’est pas un exemple quand on voit comment « tzuk eitan » s’est terminé: en « queue de poisson » avec un renforcement du Hamas
On peut le dire en « chansonnant »… 🙂 🙂 🙂
https://www.youtube.com/watch?v=9H45ITLyPjg