Des documents trouvés en Syrie par des forces spéciales américaines indiquent qu’une décision religieuse émise par un dignitaire musulman de l’Etat islamique autorise non seulement le trafic d’organes provenant de non-musulmans ou d’ennemis de Daech, mais autorise aussi le prélèvement d’organes sur des prisonniers vivants “si cela peut sauver des Musulmans”.
L’édit religieux émis par cette autorité indique “qu’un prisonnier ainsi que ses organes n’ont pas être respectés et il est possible de les prélever alors qu’il est encore vivant sans qu’il n’y ait de punition divine”. Le trafic d’organes servirait à financer “l’effort de guerre” de l’Etat islamique.
Muhmad Ali Al-Hakim, ambassadeur d’Irak à l’ONU demande au Conseil de sécurité de se pencher sur ces documents.
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