Le doute n’est désormais plus permis quant aux circonstances de l’explosion en vol de l’Airbus A320 de l’Egyptair au mois de mai dernier. L’appareil avait disparu des écrans radars au dessus de la Méditerranée alors qu’il assurait la liaison Paris-Le Caire avec soixante-six passagers à son bord dont quinze français. Il n’y avait eu aucun survivant, Daech avait revendiqué un attentat mais la thèse d’un accident n’avait pas été totalement écartée.
La commission d’enquête égyptienne a achevé ses travaux et affirme que des traces d’explosifs ont été décelées sur des restes de corps de victimes.
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