(Traduction : Dr. Michaël Wolf)
Le ministère de la Santé a annoncé de nouvelles mesures qui prendront effet dès le jeudi 29 juillet 2021 :
- Retour de l’application du Tav Yarok.
- A partir du 29 juillet, la réglementation du Tav Yarok sera appliquée pour tous les endroits ouverts ou fermés de plus de 100 personnes.
- A partir de 12 ans les entrées ne seront plus autorisées que pour les vaccinés, les “personnes guéries” et ceux présentant un test négatif.
Concerne :
✔️ Les événements culturels et sportifs
✔️ Les hôtels et attractions touristiques
✔️ Les salles de sport
✔️ Les restaurants, les bars, les cafés
✔️ Les salles de conférence
✔️ Les lieux de prières
Ne concerne pas :
〽️ Les magasins
〽️ Les canyonim
〽️ Les piscines
〽️ Les musées
〽️ Les bibliothèques
〽️ Les parcs nationaux
Jusqu’au 8 août les non vaccinés pourront entrer dans ces lieux en présentant une PCR réalisée en kouppat holim ou via le Pikud Haoref (Défense passive), le test est gratuit et est valable 72h
A partir de 8 août l’entrée dans les lieux sous Tav Yarok ne seront autorisés que sur présentation d’un test rapide réalisé dans les dernières 24h et aux frais de la personne (de plus de 12 ans)
.
Pour rappel, ce règlement s’applique déjà pour tous les lieux fermés de plus de 100 personnes, le test étant gratuit pour les moins de 12 ans.
Photo Miriam Alster / Flash 90
La soumission appelle à plus de soumission.
Au début de la vaste campagne d’inoculation massive du produit expérimental de Pfizer, beaucoup se sont laisser avoir en pensant que la docilité allait vite permettre le retour à une vie normale.
Deux doses contre la liberté. Cette liberté a été rendue pour envirion trois semaines en juin.
Mais aujourd’hui, il est question d’une troisième dose. La servilité a fait de notre pays un vivier de cobayes, et il n’est pas question de nous lâcher.
Or, preuve est faite après sept mois que le produit est non seulement inefficace, mais également dangereux. Les hôpitaux sont débordés par une affluence toujours plus grande de malades du coeur. Les médias désinforment en cachant les cas de mortalité et autres effets secondaires.
Le bon sens exige que l’expérience soit stoppée, mais au contraire, on enferme les citoyens en les privant de leurs libertés les plus élémentaires. Vivement une prise de conscience et une protestation claire, dignes d’un pays démocratique épris de liberté. (Sans compter que des médicaments existent contre le corona, ce qui est systématiquement diabolisé).