Les deux partis palestiniens dominants sont des Institutions à vocation criminelle. Le Hamas, qui domine Gaza, a pour unique but le génocide des Israéliens, même si, de temps en temps, ses dirigeants tentent de le dissimuler. Le Fatah, le parti dirigeant de l’Autorité Palestinienne (AP), glorifie le meurtre des civils israéliens. L’AP les récompense également sur le plan financier, ainsi que leurs familles. Il y a quelques décennies, la plupart des Occidentaux un tant soit peu décents – qui n’étaient ni Nationaux-Socialistes, ni Fascistes, ni Communistes- auraient considéré ceci comme abominable, ou par l’un ou l’autre de ses synonymes : détestable, répugnant, dégoûtant, répulsif, haïssable, haineux ou scandaleux.
Beaucoup d’hommes politiques occidentaux pro-palestiniens et d’autres, dans leurs attaques verbales contre Israël – une démocratie qui combat contre ses ennemis terroristes avec une main attachée derrière le dos, à cause des lois internationales – ne prêtent guère la moindre attention aux crimes palestiniens. Y consacrer du temps affaiblirait leur anti-israélisme. Dans le but de mieux comprendre la négligence systématique face à de tels crimes, cela peut aider de diviser ces pro-Palestiniens en un certain nombre de catégories. Les plus extrémistes sont les partisans des mouvements terroristes génocidaires. Pourtant, il est assez rare qu’ils le déclarent ouvertement. Le dirigeant du parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn, représente une exception, en appelant le Hamas et le Hezbollah “mes frères” et mes “amis”[1].
Une deuxième catégorie concerne les protecteurs de meurtriers. On peut les trouver dans divers secteurs de la gauche. Margot Wallstrom, la ministre socialiste des Affaires étrangères de Suède, est une des personnalités situées dans cette catégorie[2]. Elle a réclamé une enquête internationale sur la mort de terroristes, éliminés par Israël, au cours d’attaques particulièrement meurtrières. Puisqu’elle ne l’a jamais fait pour aucun autre pays ayant tué des terroristes dans de tels attentats, cela correspond à un acte caractéristique d’antisémitisme, selon la définition de l’Alliance Internationale pour la Mémoire de la Shoah (IHRA).[3]. Le vote de la suède en faveur de cette définition, en tant que partie prenante du Bureau de cette organisation permet d’autant plus son acceptation.
Une troisième catégorie peut être définie comme les “dissimulateurs” de crimes palestiniens.
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Manfred Gerstenfeld