Le chanteur Stéphane Legar a mis le feu en Israël avec son dernier tube en « franbreu ». Voilà qu’il résume, à sa façon, l’ambiance du pays, par cette expression qui veut tout et rien dire à la fois! Le plus drôle, c’est que l’Israélien non francophone, (oui, il en reste quelques-uns au mois d’août) chante, lui aussi, ce refrain si facile à répéter. Le pays, la politique, la parnassa, la famille, les amis, l’éducation, le climat…. Stéphane a répondu, et tous reprennent après lui: « comme ci comme ça ».
Le pays est en ébullition, avec des manifestations en tous genres, et des vacanciers de tous horizons. Les touristes venant de France sont là, présents à chaque coin de rue, et sur chaque parcelle libre de sable. Est-ce qu’on les reconnait ? Disons qu’on les entend et qu’après le Mondial, on discerne encore mieux les tricolores ! Si vous désirez une ambiance plus calme, roulez vers le sud, oh non! J’oubliais le Hamas…Alors vers le nord, la verdure, l’air et la frontière avec la Syrie, Daesh, le Hezbollah et l’Iran. A part ça ? « Comme ci, comme ça » !
Pour les olim fraichement arrivés, sachez une chose: quelle que soit la période, le mois, l’année de votre arrivée, n’ayez aucun regret. Que l’on commence une guerre, que l’on décide de construire 1000 nouveaux logements à Jérusalem ou que l’on sorte une nouvelle loi qui prône notre souveraineté, vous entendrez toujours ces voix qui vous diront: ce n’est vraiment pas le moment! Si on avait écouté ces personnes démotivantes, si raisonnables, avec si peu de foi, on ne serait pas arrivé très loin ! Pour oser, comme les Juifs ont toujours osé en Israël, pas de ‘’comme ci ou comme ça’’…. Les olim doivent être persuadés que leur place est là, et que dès leur premiers pas sur cette terre, leur responsabilité prend une nouvelle dimension, celle d’un peuple, avec ce sens développé de vision et ce pouvoir de distinction entre le bien et le mal.
En réalité, en Israël, on a tout simplement le choix, comme Moshé le présente si bien dans la Paracha Reeh. Les clefs sont dans nos mains : le chemin de la braha ou celui de la klala. Et vous, que préférez-vous ? Oh non, ne répondez surtout pas par le refrain de Stéphane ! Bien sûr, on veut tous la braha de D ieu, pour la paix, la terre, le climat…
La braha, elle, ne demande qu’à nous inonder, elle attend notre bon œil et nos bras ouverts.
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Avraham Azoulay
Photo by Nati Shohat/FLASH90
MERCI UNE FOIS DE PLUS A LPH POUR SON MINISTRE ET SES DONS RECUS D INFORMER EN VERITE.
gilbert.bernard3@orange.fr évangélique français ami inconditionnel d’Israël
Matti caspi et bien d autres ont traduit et adapté Brel, Brassens ou les grands bresiliens en hebreu ,tout comme en Françe les radios debitent des chansons populaires sans grand interet , mais une scene de qualité existe bel et bien en Israel et les talents y sont nombreux