A Washington on exprime son mécontentement – au bas mot – envers l’Autorité Palestinienne à propos du refus réitéré de recevoir le vice-président américain Mike Pence à Ramallah lors de sa prochaine tournée dans la région. Avec un langage diplomatique mais qui veut bien dire ce qu’il veut dire, un communiqué émanant du vice-président américain exprime “le regret américain de voir que l’Autorité Palestinienne continue à se dérober des occasions de discuter de l’avenir de la région”. On est loin des remontrances indignes et malvenues de John Kerry qui pointait systématiquement Israël du doigt comme étant la partie réfractaire au dialogue.
A l’opposé, le vice-président américain aura droit à un accueil des plus chaleureux en Israël. Il prendra la parole à la Knesset devant l’hémicycle plein (mis à part les députés arabes) et sera ainsi la personnalité politique américaine la plus élevée à s’y exprimer depuis le président George W. Bush. On se rappelle que lors de sa visite en Israël, le président Obama avait refusé de parler à la Knesset mais avait préféré s’adresser à un parterre d’étudiants à l’Université hébraïque où il avait de manière très incorrecte adressé des messages bien ciblés à la population israélienne en passant au-dessus du gouvernement. Cette fois-ci, c’est Mike Pence lui-même qui a exprimé son souhait de s’adresser aux députés israéliens. Ce sera le lundi 18 décembre dans l’après-midi.
Particulièrement chaleureux à l’égard d’Israël, Mike Pence à l’intention de parler de l’alliance entre les Etats-Unis et Israël, du danger iranien et aussi des projets de Donald Trump concernant une reprise du processus de paix, bien improbable.
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On sait tous ce que pensait le Squatter de la Maison Blanche de l’époque, l’Obamerde, du “problème palestinien”.
Ouff, il a dégagé.
Maintenant Abou Mazen doit rentrer dans la Moukatta et ne plus en sortir.
Il est temps pour ce massacreur de Maalot de rester et de boire du thé jusqu’à explosion de sa bedaine;