Au nom de la Liste arabe (plus tellement ) unifiée, Aïda Toumah-Suleiman a annoncé deux des sujets qui devront obligatoirement être évoqués avec les partis qui voudront obtenir le soutien de la liste auprès du président de l’Etat pour la désignation du candidat au poste de Premier ministre : la “question palestinienne” et la fin de “l’occupation”. La députée a rajouté : “Quiconque voudra obtenir notre recommandation devra obligatoirement s’éloigner de Binyamin Netanyahou – de l’homme comme de sa politique – et se rapprocher de nous”.
Un écueil de plus dans la formation d’une coalition “anti-Netanyahou” qui devrait avoir un semblant d’homogénéité et de stabilité.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
mon D’ hatsilou!!!!
Si je ne tue pas le Laxisme
Le Laxisme me tuera.
Rien d’étonnant avec des Incapables dans une démocratie vendue à l’Ennemi.
Dites moi , hormis en Israël , où y a t il pareil arrangement.
Les partis de droite anti-Netanyahou doivent se réveiller et arrêter leurs conneries et former une coalition de droite et envoyer paître aussi bien la liste arabe et raam que les partis gauchistes qui n’ont rien de sionistes. Le moment est venu de réformer le “système judiciaire” et de restaurer la Justice. C’est le moment où jamais.
OK, la fin de l’occupation de la Judée-Samarie, par les colons arabes qui ne sont pas plus palestiniens que sala-el-Edin était gaulois. Le laxisme et la méconnaissance des arabes ne datent pas seulement d’hier ou d’aujourd’hui, puisque depuis l’indépendance d’Israël, Bengourion les a considérés en tant qu’Israéliens. Quant à Dayan qui s’est mis le doigt dans le seul œil qui lui restait, leur a fait cadeau du lieu le plus saint des Juifs. Depuis les dons qui leur a été fournis n’ont pas mis un terme à leurs revendications malsaines, au contraire.