La politique voulue par Binyamin Netanyahou dans la dérégulation et la lutte contre la bureaucratie semble porter ses fruits. Dans son classement international annuel, le Projet « Doing Business » (« Faciliter les Affaires ») a classé Israël à la 35e place sur 190 pays. Il s’agit d’un bond de 19 rangs par rapport à l’an passé, où Israël avait déjà progressé de la 54e place à la 49e place.
Le Projet « Doing Business », lancé en 2002 par la Banque mondiale, étudie en détail les économies des différents pays et particulièrement les réformes qui sont mises en oeuvre dans la réglementation pour faciliter les affaires et le commerce, en clair « l’environnement économique ». Il analyse entre autres les petites et moyennes entreprises au niveau national et mesure la réglementation s’appliquant à celles-ci tout au long de leur cycle de vie.
Un classement élevé dans la facilité de faire des affaires signifiera alors que l’environnement réglementaire est plus propice à la création d’entreprises. Les classements sont déterminés selon 10 indicateurs et au bout du compte, une notre moyenne sera accordée à chaque pays. Ces indicateurs sont: création d’entreprises, obtention d’un permis de construire, raccordement à l’électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs minoritaires, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats et règlement des insolvabilités.
Les cinq premiers au classement sont: Nouvelle-Zélande, Singapour, Hong-Kong, Danemark et Etats-Unis. La France est classée 32e.
Dans son 35e rang mondial, Israël a certains points forts: paiement des taxes et impôts (13e), protection des investisseurs minoritaires (18e) et création d’entreprises (28e). Ses point faibles sont: obtention de prêts (48e), commerce transfrontalier (67e, mais pour des raisons géopolitiques évidentes), transfert de propriété (75e), exécution des contrats (85e) et…raccordement à l’électricité (88e).
En 2018, le département du Trésorier-payeur général dirigé par Roni Hizkiyahou a été chargé de concentrer sous son aile tout ce qui concernait « Doing Business » face à la Banque Mondiale et tous les ministères du gouvernement. Il s’agissait de l’une des recommandations de la commission interministérielle chargée d’étudier les moyens d’améliorer l’environnement du monde des affaires. Etaient concernés: le bureau du Premier ministre, le ministère de la Justice, le ministère de l’Economie, l’Administration fiscale et le département du Budget au sein du ministère des Finances.
La politique suivie, prônée depuis longtemps par Binyamin Netanyahou, est d’introduire des réformes destinées à réduire et simplifier la régulation et les arcanes bureaucratiques afin de faciliter la vie des affaires et renforcer l’économie du pays.
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Avec des rues ressemblant à celles du Bengladesh, des crottes partout, des poubelles qui jonchent les rues, PLUS PERSONNE N EST INTERESSE PAR LES ARTICLES D AUCUN MEDIA ET ENCORE MOINS PAR LA POLITIQUE ACTUELLE.
Que D’ fasse que le MASHIAH BEN DAVID SE DEVOILE ENFIN!!!
Bravo Israël pour ce classement. Espérons même 26ème pour l’année prochaine !
Juste une remarque (arithmétique) sur la position d’Israël : 35ème par rapport à 49ème est une progression de 14 places (seulement ?) en 1 an (… et non 19 places).
Le pays de Lait et de Miel revient à grands pas…