Un miracle ? Non juste une conséquence logique de l’action de l’administration Trump puisque c’est Nikki Haley, ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies, officiellement nommée par le nouveau président américain le 20 janvier dernier, qui a tout simplement déclaré à la tribune de l’organisation : « La question israélo-palestinienne est importante, méritant une attention particulière. Mais c’est un problème qui n’a certainement pas manqué d’attention ici ».
Une entrée en matière délicate afin de mettre l’accent sur « La nature incroyablement destructrice des activités iraniennes et du Hezbollah dans tout le Moyen-Orient » qui, selon elle, « exige beaucoup plus » l’attention du Conseil de sécurité de l’ONU, lui qui tous les mois s’applique à tenir un débat relatif au Moyen-Orient et à la question palestinienne, et non des moindres.
En agissant de la sorte, Nikki Haley entend contrecarrer ces « séances de dénigrement d’Israël », comme elle l’affirme, coutumières des membres de l’ONU, et recentrer ainsi le débat sur les réels dangers qui menacent à l’heure actuelle le monde entier. « La façon dont on choisit de passer son temps est une indication de ses priorités », a-t-elle martelé dans ses remarques préliminaires.
Mais les révolutions ne se font pas en un jour, le bloc anti-israélien étant certainement plus déterminé que jamais à arriver à ses fins. Les gouvernements gauchistes sud-américains, tel que le Venezuela, la France, la Russie ou encore la Chine se sont cantonnés à mettre l’accent sur le conflit israélo-palestinien, le porte-parole sud-africain ayant déclaré que le Conseil de sécurité « ne devrait pas s’éloigner de la question centrale » lors de la discussion sur la région.
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