Le terroriste Karim Younès qui avait assassiné le caporal Avraham Brumberg en 1980, est sorti jeudi dernier de prison après avoir purgé une peine de 40 ans.
Avant même sa libération, le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, avait demandé à la police d’interdire toute manifestation de célébration du terroriste, un arabe israélien originaire du village d’Arar’a.
Malgré cette demande ministérielle, Younès a été accueilli en héros: danses, lâchers de ballons, discours, visites de dignitaires. Les festivités durent depuis quatre jours. Israël y est conspué et Younès lui-même s’est exprimé publiquement pour déverser sa haine d’Israël, lui qui n’a jamais manifesté aucun regret après avoir assassiné de sang-froid le jeune Avraham Brumberg, z’l.
Le ministre Ben Gvir, suite à cela, a demandé au chef de la police, Kobi Shabtaï, de procéder à une enquête interne afin de comprendre pourquoi ses services n’ont pas fait appliquer la consigne qu’il avait donnée.
Le bureau du ministre de la Sécurité nationale a publié un communiqué: ”Ces festivités ne sont rien d’autre qu’un appel à la haine et un soutien au terrorisme. Il est inconcevable qu’elles se produisent chez nous. En Israël, ces événements n’ont pas leur place et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour les interdire jusqu’à ce que la loi prévoyant la peine de mort pour les terroristes soit votée”.
Dans ce contexte, le journaliste d’Haaretz, Guidon Lévy, a, une nouvelle fois, créé le scandale dans un article publié aujourd’hui. Il y écrit qu’aucune ”personne humaine normalement constituée ne peut rester insensible à l’émotion qui se dégage de la libération de Karim Younès qui retrouve sa liberté au bout de 40 ans”. Lévy a essuyé de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux pour cet article indécent.
Par ailleurs, le ministre de la Défense Yoav Galant, a fait retirer à trois dignitaires palestiniens venus rendre hommage à Younès, leur droit d’entrer sur le territoire israélien.
Elle est finit la belle époque où, pour shabtai, un juif était d’office coupable, ou la police n’intervenait pas pour défendre des citoyens juifs… et ce, avec la bénédiction de la cour suprême et du ministre Barlev.
Aujourd’hui, le sieur shabtai va devoir s’expliquer et surtout devoir faire appliquer la loi du respect de l’état d’Israël, d’arrêter les terroristes plutôt que de les défendre, et d’appliquer des lois sommes toutes logiques dans tout pays démocratique.
Il suffit de se remémorer les attaques de juifs dans le quartier de shimon hatsadik, ou la police avait été quasiment et en permanence, absente, malgré les appels de juifs en danger, pour mieux saisir les difficult que va rencontrer ce chef de police ultra politisé.
Il y a, à l’évidence, des brebis galeuses, des traitres à leur Nation au sein de la police ! la question est quel leur moteur ? qu’est ce qui les motive à sacrifier nos enfants, frères, soeurs, maris, pères, sur l’autel de la TERREUR, de la DESTRUCTIVITE ?Seraient ils, tous, MASO? La DHIMMITUDE serait elle si ancrée dans leur coeur, dans leur chair pour se conduire de façon si destructrice ?
Il faut aller plus loin et remettre ce criminel en prison pour encore 40 ans, ensuite ils pourront fêter ce criminel pas en plein forme, mais quand il sera déjà dans un cercueil.
Cette fois, Itamar à raison, mais le problème est ailleurs……
Je réfléchis à ce que sera l’émotion profonde et pleine de reconnaissance, quand on fêtera le héros juif qui aura, à l’instar de Pinhas, lavé la souillure qu’incarne yimah chémo vézikhro, le propagandiste antijuif sévissant régulièrement dans le torche-cul “l’immonde en ivrit”…. et si possible quelques déchets alertjuifs collatéraux avec.
Je propose de chanter le Hallel complet, lors de cet heureux évènement, bekarov… b’H’m.