La ministre des Finances Moshé Cahlon, qui était fermement opposé à l’inclusion d’Amona dans la loi de régularisation s’est dit très satisfait du compromis trouvé. Il a indiqué que l’Etat d’Israël ne pouvait pas fonctionner sans une Cour suprême dont les décisions sont respectées et exécutées, mais a rajouté que l’impératif de repeuplement juif en Judée-Samarie n’est pas opposé au principe de l’Etat de droit mais peut tout à fait coexister avec lui.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90