La société américaine Ben&Jerry’s refait parler d’elle… Après avoir décidé de ne plus vendre ses produits au-delà de la ligne verte pour protester contre la »politique de colonisation du gouvernement israélien », cette fois c’est à l’opération militaire à Gaza que le glacier s’en prend.
La directrice du conseil d’administration de la société, Anuradha Mittal, a déclaré, à ce sujet, sur X: »Une guerre d’extermination, un génocide, des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité. Si la Cour pénale internationale n’agit pas très prochainement, nous devrons créer un tribunal spécial pour Gaza et une action de plusieurs Etats. 2.3 millions de Palestiniens sont pris au piège à Gaza pendant qu’un génocide se déroule en direct, qu’Israël les bombarde, les affame et les déracine ».
Puis elle a appelé à exiger des autorités américaines qu’elles cessent de livrer des armes à Israël: »Faites quelque chose, appelez le Congrès. Dites leur #StopArmingIsrael et investissez dans la vie ».
Suite à cet appel, le centre Simon Wiesenthal qui lutte contre l’antisémitisme et pour le souvenir de la Shoah, a appelé en retour à boycotter Ben & Jerry’s, dans un tweet avec une photo d’Anuradha Mittal et une critique de son attitude par rapport à l’attaque du Hamas du 7 octobre: »Elle justifie les crimes de masse, le viol, les tortures d’otages juifs, y compris des enfants. Personne ne doit dépenser un centime pour les produits de sa société ».
De manière surprenante, cette réaction du centre Simon Wiesenthal a fortement déplu au directeur du conseil d’administration du centre, le milliardaire Nelson Peltz. Ce dernier, également membre du conseil d’administration d’Unilever, la maison-mère de Ben & Jerry’s a désapprouvé cet appel au boycott des produits de la marque et a posé sa démission du centre Simon Wiesenthal.
Il a précisé que l’appel au boycott de Ben&Jerry’s avait été lancé sans qu’il en soit informé.
Suite à cette publication, Mittal s’était plainte à la direction d’Unilever d’avoir été attaquée personnellement pas le centre Simon Wiesenthal et avait demandé à ce qu’une enquête pour conflit d’intérêts soit menée contre Nelson Peltz qui aurait violé la confiance des actionnaires d’Unilever par cet appel au boycott lancé par le centre Wiesenthal. Peltz a donc préféré démissionner, en surprenant plus d’un.
Rappelons que Ben&Jerry’s Israël est indépendante de Ben&Jerry’s aux Etats-Unis depuis l’affaire du boycott des localités de Judée-Samarie. La compagnie israélienne a réagi à cette nouvelle affaire: »Ben&Jerry’s Israël est une société indépendante, privée et patriote qui fonctionne en Israël sans aucun lien commercial ou juridique avec la société à l’étranger. Ben&Jerry’s Israël condamne fermement les propos de la directrice du conseil d’administration de la société à l’étranger. Pour rappel, il y a environ un an, Ben&Jerry’s Israël s’est détachée de Ben&Jerry’s dans le monde en raison de ses idées et de son rapport à Israël ».
APPEL AU BOYCOTT DE TOUS LES PRODUITS Ben&Jerry’s
DANS LE MONDE TOUTES LES PERSONNES INTELLIGENTS NON RACISTES AIMANT LES AUTRES ET REJETANT LA DISCRIMINATION ET LA VIOLENCE DOIVENT BOYCOTTER TOUS LES PRODUITS DE CETTE INFAME SOCIETE FACHISTE ET SECTAIRE QUI N’A RIEN COMPRIT , ET NE PENSE QU’AU PROFIT SUR LA TETE DES AUTRES. COMME SON PROPRIETAIRE ce monsieur PELTZ
Ça fait un peu humour noir mais « s’ils les affament, ils ne seront pas déracinés très longtemps »
Nous boycotterons donc les produits en France et en profiterons en Israël !!
Et pour essayer de comprendre la différence entre une riposte et un genocide :
Merci Thierry D.
André Perrin: «Pourquoi il est scandaleux de parler de “génocide” à Gaza»
Pour ceux qui n’ont pas l’édition abonné
TRIBUNE – Renvoyer dos à dos le pogrom commis par le Hamas et la riposte israélienne en la qualifiant de «génocide» est inadapté, explique l’agrégé de philosophie, qui revient sur la définition de ce terme et rappelle l’importance des pertes civiles dans les conflits du XXe siècle.
Le 8 décembre 2023, le journal Le Monde publiait une tribune d’un maître de conférences en philosophie intitulée : « Moralement, il existe toujours une alternative à la mort en masse d’enfants et de civils ». Établissant un parallèle entre le massacre commis par le Hamas le 7 octobre et la riposte israélienne, l’auteur y écrivait ceci : « Ne parlons ni de pogrom pour le 7 octobre ni de génocide pour l’offensive en cours, mots-épouvante qui brouillent tout. »
Cette manière de renvoyer dos à dos en réputant également inappropriés les termes de « pogrom » dans un cas et de « génocide » dans l’autre mérite d’être interrogée, pour ne pas dire « déconstruite ». « Pogrom » n’est pas une catégorie juridique, mais un mot du langage courant dont le sens est le même dans tous les dictionnaires, par exemple dans le Grand Robert : « agression collective, meurtrière contre une communauté juive ». On voit mal en quoi ce mot est inapproprié pour désigner ce qui s’est passé le 7 octobre, à moins qu’on ne veuille signifier par là qu’il est très au-dessous de la vérité. En effet, les agressions meurtrières contre les communautés juives n’ont pas toujours atteint le niveau d’atrocité et de barbarie de celle perpétrée par le Hamas ce jour-là. On ne voit donc pas en quoi ce mot susciterait indûment une épouvante plus grande que la chose elle-même, et pas davantage en quoi il « brouillerait tout ».
Il n’en va pas de même du mot « génocide ». Le génocide est une catégorie juridique définie par une convention adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 9 décembre 1948 et le statut de Rome de la Cour pénale internationale en 1998. Il consiste dans des actes commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Cependant, les conditions requises pour qu’on puisse parler de génocide sont à ce point exigeantes qu’à ce jour, il n’y a que trois massacres de masse pour lesquels l’appellation de génocide ne soit pas contestée : celui des Arméniens en 1915-1916, celui des Juifs entre 1941 et 1945, celui des Tutsis au Rwanda en 1994. Ni le massacre des Vendéens entre 1793 et 1796, ni l’extermination des « cosaques » pendant la « Terreur rouge » en 1919, ni l’Holodomor et ses 5 à 6 millions de morts en 1932-1933, ni l’extermination par les Khmers rouges du quart de la population cambodgienne en l’espace de quatre ans ne sont universellement considérés comme des génocides. Dans ces conditions, il serait extravagant que des bombardements qui atteignent des civils en visant des objectifs militaires, hier ceux des bombardements anglo-américains pour permettre le débarquement, aujourd’hui ceux d’Israël pour venir à bout du Hamas, puissent être qualifiés de génocides.
Les guerres n’ont jamais été des conflits opposant des soldats sur un champ de bataille dans le style : « Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! ». Autant qu’on puisse le savoir, elles ont toujours fait à peu près autant de victimes parmi les civils que parmi les militaires, ce qui a encore été le cas en 1914-1918. Elles tendent désormais à frapper davantage les civils : au moins 40 millions de victimes civiles pendant la Seconde Guerre mondiale pour 22 à 25 millions de soldats. Dans ces conditions, il est permis de soutenir qu’aucune guerre n’est juste, qu’aucune défense n’est légitime si elle doit se faire à un tel prix et qu’il est préférable de se soumettre à l’agresseur, par exemple en invoquant les mânes de Socrate : « Il vaut mieux subir l’injustice que la commettre ». Encore faut-il le dire clairement et en assumer les conséquences jusqu’au bout.
Les bombardements anglo-américains pendant la Seconde Guerre mondiale ont fait entre 350.000 et 500.000 victimes civiles allemandes et près de 70.000 victimes civiles françaises, hommes, femmes et enfants. Il n’y avait pas à l’époque de journal télévisé pour nous les montrer tous les soirs, mais elles n’en étaient pas moins réelles et sanguinolentes. Ces bombardements furent massifs au printemps 1944 pour retarder la progression des blindés allemands vers l’ouest et faciliter le débarquement. Le 26 avril 1944, le service français de la BBC disait : « Cette nécessité est horrible. Sans doute jamais dans l’histoire aucun allié n’a-t-il dû infliger des blessures aussi sanglantes et aussi pénibles à un autre peuple allié et ami. »
Cette nécessité n’apparaissait pas avec évidence à Philippe Henriot, le héraut de la collaboration, qui dénonçait ce carnage sur les ondes de Radio Paris, à l’instar de toute la presse vichyste. Voici ce qu’on pouvait lire dans Le Journal du midi, le 30 mai 1944, sous le titre « Les inhumaines agressions anglo-américaines sur les régions méditerranéennes » : « Des centaines de morts, des milliers de blessés, d’innombrables immeubles détruits, des hôpitaux, des cliniques, en ruines, des monuments d’art saccagés, voilà le glorieux bilan d’un raid “comme les autres”, comme ceux accomplis sur Rouen, sur Lyon, sur Orléans, au cours desquels les “objectifs militaires” atteints avaient déjà été des hôpitaux, des cliniques, des maisons d’habitation, qui, soufflées, ensevelirent sous leurs décombres des dizaines, des centaines d’innocents ».
Dans ces conditions, la sagesse et la vertu exigeaient qu’on décrétât un cessez-le-feu immédiat et que l’on recherchât une solution politique avec « Monsieur Hitler ». De la même manière, Israël devrait aujourd’hui renoncer à détruire le Hamas et négocier avec lui la question de son droit à exister ou de son devoir de disparaître.
Ce n’est pas exactement ce que nous dit notre professeur de philosophie. Il ne nous dit pas non plus qu’Israël se trouve dans une situation tragique, c’est-à-dire une situation où l’on n’a le choix qu’entre de mauvaises solutions, de sorte que, quoi que l’on choisisse, on sera coupable. Il nous dit même le contraire. Il nous dit qu’il y avait une « alternative » et qu’Israël a eu tort de ne pas la chercher « au lieu de foncer tête baissée dans le piège tendu par le Hamas », se muant ainsi en « État voyou ». Malheureusement, il ne nous dit pas, ni en français, ni en franglais, quelle est cette « alternative ». Pourquoi ? Pour quelle raison, tel Euthyphron à la fin du dialogue de Platon, refuse-t-il de nous faire partager son savoir ? Serait-ce parce que, « maître ignorant », il ne la connaîtrait pas lui-même ? Ou bien parce que, adepte des pédagogies nouvelles, il considère que l’enseignement ne consiste pas pour le professeur à transmettre son savoir, mais à amener son élève à le construire lui-même ? Toujours est-il que le professeur ne donnera pas de corrigé. Élève Israël, débrouillez-vous tout seul !
André Perrin: «Pourquoi il est scandaleux de parler de “génocide” à Gaza»
https://www.lefigaro.fr/vox/monde/andre-perrin-pourquoi-il-est-scandaleux-de-parler-de-genocide-a-gaza-20231212
Surprenant à tout niveau !!!
D’abord mme mithal serait elle d’origine indienne ?
Parce que si elle veut qu’on discute du sort fait aux femmes et aux immigrés dans son pays d’origine….
Ensuite OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII, cent fois OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII,
Boycott absolu des produits B&J et MM Unilever.
Alors Mr Peltz, qu’ en dites vous ?
Ah ça, moi vs ne pouvez pas me virer.
Nos soldats tombent tous les jours comme des petits pains, pourquoi pour tenir la population a l´écart et la prévenir avant toute opération militaire alors où est le crime contre humanitaire ?
Vos produits on s’en passe et on vous les fait cadeau
Ce connard de Nelson aurait pu condamner de cette connasse de Mittal. Il est si important de plaire à la rue.
Mme Mithal voudrai que le Hamas s’impose partout dans le monde et peut être qu’elle attend d’être violé à son tour par ces pauvres gens qui égorgent les bébés viole les femmes et massacre les viellards.
Elle n’a pas jugé utile d’intervenir le 7 Octobre lors du massacre.
Elle n’a qu’a offrir ses glaces aux Gazouis.
L’argent de UNRAW ne sert pas acheter des glaces mais des armes pour tuer les juifs
Des qu’une entité commerciale, alimentaire comme « culturelle », prend la liberté de propager un avis, voire une idéologie, sur un problème sociologique, voire une guerre (!) prendre parti induit un but, nécessairement tourné vers le profit. Pourquoi publier les déclarations de cette entreprise ?
Un acteur, chanteur, musicien etc ont-ils quelque vertu à posséder la vérité, et nous l’enseigner ? Nous avons nos maîtres, qui nous ont enseigné ce qui doit être compris dans ce type de conflit et pourquoi il se produit. On ne cesse d’entendre parler de « génocide », et pire nous nommer comme acteurs…
Le seul génocide qui ait été tenté, et qui reste d’actualité comme projet Reporté, est le génocide Juif, si tant soit peu que le Judaïsme était d’essence génétique. Tous ceux qui prétendent que des Juifs procèdent à un génocide sont des faussaires. Même s’ils sont Juifs eux-mêmes… Ils auront leurs « récompenses ».
J ai goûté leurs glaces c etait trop sucrées dégueulasse .très bien on perd rien et on gagne à être en bonne santé
Eradiquer des monstres et de la racaille n’ est pas un génocide mais un grand service pour l’ humanité, et que ceux qui n’ arrivent pas à le comprendre , qu’ils ouvrent les yeux et leur tête.
Que Ben&Jerry’s s’occupe de ses crèmes glacées… pour le reste je risquerais d’être grossier. !
Mme Mithal ne peut être qu une fille ou petite fille d Hitler
Le nazisme à la vie dure mais ses jours sont comptés ,elle a sida du cerveau irréversible et incurable
Quant à Pelz tout a été dit ,un traitre méritant l échafaud
Et si ces 2 monstres avaient des biens en Israël,il serait du devoir de l’état de leur confisquer tous les avoirs
Ben&Jerry’s semble très proche des terroristes du hamas. Une position, une propagande, des propos dignes de Goebbels.
Je ne comprends pas ce qui se passe. Une société se permet d’accuser Israèl de tous les maux. On nous propose de la boycotter. Très insuffisant ! Pourquoi personne n’a intenté un procés en diffamation ? Les sommant de prouver leurs dires et sinon de payer une somme mirobolante pour atteinte à la réputation d’un état, injures publiques, etc … ?