Les données concernant la circulation du Covid 19 en Israël sont encourageantes. Le nombre de contaminés diminuent quotidiennement ainsi que celui de malades graves. Depuis jeudi dernier, on compte 12562 nouveaux cas et 822 malades hospitalisés, le R restant nettement en dessous de 1 et s’élevant à 0,67. On déplore, tout de même, 208 morts de l’épidémie la semaine qui vient de s’écouler.
Dans ce contexte, le Premier ministre Naftali Bennett a déjà annoncé une série d’allègements dont la fin du tav yarok.
Il se pourrait également, que les tests exigés pour les enfants tous les dimanches et mercredis soient abandonnés dès le début du mois de mars.
L’autre sujet qui occupe une part importante des débats est l’obligation du port du masque. Les indicateurs semblent montrer que le gouvernement envisage de la lever aux alentours de la fête de Pessah ”si les chiffres poursuivent leur baisse”.
Le responsable de la lutte contre le Corona, le Professeur Zalman Zarka, reste prudent. Il estime que certes la situation s’améliore mais précise que la vague Omicron n’est pas encore derrière nous. Par ailleurs, il a déclaré : ”Nous étudions en détails tous les éléments de cette vague actuelle, afin de tirer les leçons et d’être prêt pour la sixième vague”…
Le masque restera car il permet un contrôle de la masse de moutons aux ordres qui ne réfléchissent plus du tout . Donc dans l’attente de la 6 ème vague prévue , bien évidemment, avec un variant ou autre virus fabriqué par informatique comme le 1er , le cerveau doit rester dans la peur et l’ignorance . Vous pouvez télécharger les 167 études (minimum) sur le port du masque dans cette article du 18/01/22 : http://www.zejournal.mobi/index.php/news/show_detail/24975
Vous dites : 208 morts de l’épidémie.
De deux choses l’une (en supposant que ces chiffres soient vrais) :
1. Ce sont des personnes décédées d’autres problèmes mais on cherche à maintenir la main-mise sur les libertés fondamentales.
2. Ces personnes sont en effet mortes du corona et alors c’est très grave, parce que ça veut dire qu’on les a privées de soins.