« F***k Trump! » a lancé lundi avec colère l’acteur Robert De Niro sous les applaudissements du parterre de comédiens et acteurs lors de la soirée de remise de prix du théâtre Tony Awards. La vedette d’Hollywood n’en était pas à son coup d’essai concernant le président américain. En 2016, il affirmait que celui qui n’était alors que candidat à la présidence américaine était un «idiot», «totalement cinglé» et d’une «stupidité sans excuse». C’est l’état d’esprit qui s’est installé dans les milieux de la gauche américaine, dans les médias, mais aussi en Europe et même en Israël.
La réussite du président américain qui se dessine dans le domaine économique et social, l’image d’un président qui tient ses promesses, qui replace les Etats-Unis dans le leadership mondial ou qui vient de signer un accord historique de dénucléarisation avec la Corée du Nord ne feront pas changer d’avis les chancelleries européennes, ni les émissions satiriques ou les faiseurs d’opinion.
Certes, Donald Trump est un président atypique, sans doute le plus atypique que les Etats-Unis aient connus, il réagit souvent avec les tripes, il a franc-parler qui dérange et il fonctionne davantage comme un homme d’affaires que comme un intellectuel cartésien.
A l’inverse, la bien-pensance occidentale, qui aime à haïr et railler l’actuel président, continue à vouer une quasi-vénération à son prédécesseur Barack Obama, l’homme fin aux bonnes manières, l’intellectuel, le libéral, l’homme politique au langage choisi et policé.
Ceci est pour la vitrine extérieure.
Mais plus le temps passe, plus l’ampleur de la malhonnêteté de Barack Obama sur le dossier iranien se révèle avec effroi. Les choses se savaient déjà, des bribes d’informations, des éléments qui se recoupaient, mais cette fois-ci, c’est un rapport détaillé du Congrès qui le confirme: Barack Obama et son Administration ont sciemment menti, caché des informations ou diffusé des informations partielles afin de faire passer en force l’accord avec l’Iran au Congrès et pour transférer des milliards des dollars au régime des mollahs.
Après avoir quitté la Maison Blanche, l’ancien président se plaisait à dire ici et là que ses deux mandats s’étaient déroulés « selon les normes et l’éthique » et « sans qu’il n’y ait eu de gros scandales ». En fait il s’avère que Barack Obama a souvent menti, et sur des sujets d’importance cruciale.
Le rapport d’investigation présenté par la Chambre des Représentants est accablant pour l’ancien président qui a mobilisé la machine d’Etat au service de son objectif majeur: signer à tout prix avec l’Iran. On y apprend par exemple que Barack Obama avait voulu utiliser illégalement les banques américaines pour faire parvenir des fonds à l’Iran et contourner ainsi les sanctions financières ! Ayant essuyé un refus des banques américaines, le secrétariat au Trésor s’était tourné vers des banques européennes pour transférer vers l’Iran plusieurs milliards de dollars en contournant les sanctions.
Le rapport note que toutes les décisions du président Obama avaient pour but de permettre à l’Iran de redevenir fréquentable dans la communauté internationale. Dans leur aveuglement, lui comme ses conseillers étaient convaincus que leur politique d’apaisement et de gestes envers Téhéran produirait un assouplissement de la politique iranienne dans la région! On voit ce qui s’est passé depuis…
Autre confirmation du rapport: l’Administration américaine était au courant que l’allègement des sanctions et le retour de capacités financières de l’Iran étaient utilisés par le régime pour remettre sur les rails son réseau terroriste dans la région. Mais elle fermé les yeux ou pire, Barack Obama a tenté d’augmenter l’aide à l’Iran, toujours en pensant amadouer le régime. Une forme de corruption mais à fonds perdus!
La Chambre des représentants rappelle aussi le rôle-clé du conseiller Ben Rhodes, adjoint au Conseiller à la sécurité nationale de Barack Obama, qui avait avoué dans le New York Times la campagne d’intox et les mensonges de l’Administration en direction des médias et des élus afin de faire passer l’accord dans la population et au Congrès. Après la fin du mandat de Barack Obama, certains de ses anciens conseillers ont reconnu qu’il était « enthousisaste à signer l’accord avec l’Iran ».
Après la signature de l’accord en 2015, ce n’est que lors d’une rencontre entre des sénateurs américains et des délégués de l’Agence internationale de l’énergie atomique que les premiers ont appris l’existence d’une annexe importante à l’accord dont Barack Obama avait « omis » de leur parler.
Le rapport présenté par le Congrès est extrêmement sévère pour l’Administration Obama. Il dit en substance: l’accord avec l’Iran a été permis à cause d’une faute originelle qui résidait dans une trahison de leur mission par les hommes de la Maison-Blanche. Les axiomes de base de l’Administration Obama concernant le monde, le Moyen-Orient et l’Iran étaient totalement erronés. Il s’en est suivi que de manière concrète, la plus grande puissance du monde s’est mise à genoux face à un pays comme l’Iran. Et surtout, les Etats-Unis et le monde n’ont rien obtenu de concret.
Autre reproche contenu dans le rapport du Congrès: outre une sommes phénoménale versée par Washington pour obtenir la libération d’otages américains, l’Administration Obama a permis à l’Iran de reprendre ses contacts avec le marché mondial des ventes d’armement.
En conclusion, la Chambre des représentants laisse sous-entendre que Barack Obama a tout fait pour imposer cet accord afin également de laisser son nom dans l’Histoire et justifier son prix Nobel de la paix. Les conditions de cet accord étaient bien moins importantes pour Barack Obama que le seul fait de son existence.
Le Washington Post a relaté de ce rapport dans un article retentissant de Marc Thiessen, qui commence par une phrase qui ne l’est pas moins: « Pour tout ce qui concerne l’accord avec l’Iran, l’Administration Obama fut sans aucun doute un puits sans fond de mensonges et d’escroqueries ».
L’article termine par une réflexion exacte: « Remplaçons dans ce rapport ‘Barack Obama’ par ‘Donald Trump’ et ‘Iran’ par ‘Russie’ et on imaginera le tollé médiatique que sa publication aurait provoqué avec à la clé la création d’une série de commissions d’enquête »…
Alors, entre le gentleman Barack Obama et l’homme d’affaires Donald Trump, le choix est vite fait.
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Les Iraniens ont su élever l’égo incommensurable de Barack Obama en lui prédisant qu’il sera ; pour le monde chiite, le Hussein l’imam qu’ils attendent depuis 14 siècles et qu’il rentrera ainsi dans l’histoire.
Obama n’en a pas raté une, de la bêtise à la trahison, ils les a toutes faites ; il devrait s’appeler : OBAMOUT
OBAMA était une erreur historique pour le monde. DE NIRO n’a probablement pas les capacités intellectuelles pour comprendre à 74 ans. Peut être grogui par le temps. Mais ce qui me choque toujours le plus c’est que les médias donnent et relatent la parole des imbéciles comme si c’était parole d’évangile. Mais rappelons qu’un imbécile reste un imbécile donc inutile de nous abreuver de ses rodomontades de cheval fou.
est-il vrai que la fille de kery, l’homme d’obama, qui a contresigné les accords avec l’iran, est mariée au fils d’un ministre iranien ?