Le secrétaire-général de l’ONU a réagi aux protestations en provenance d’Israël suite à ses propos irresponsables tendant à justifier le terrorisme comme « réaction humaine naturelle à la frustration due à l’occupation ». Ban Ki-moon persiste et signe et réitère ses propos, indiquant que « les Palestiniens en ont assez d’entendre les mêmes promesses depuis cinquante ans d’occupation et perdent tout espoir ».
Il semble que le secrétaire-général de l’ONU, qui quitte ses fonctions au courant de l’année 2016, soit atteint du même syndrome que l’ancien président Bill Clinton, qui juste avant de quitter ses fonctions en l’an 2000 avait tenu à peser de tout son poids sur Ehoud Barak afin qu’il signe à Camp David un accord avec Yasser Arafat et ainsi s’inscrire un nom dans l’Histoire.
Arrivé en fin de mandat, Ban Ki-moon a choisi son camp et désigne Israël comme responsable de la situation actuelle envers et contre toutes les évidences et tente de faire pression sur le Premier ministre israélien quitte à donner de l’eau au moulin des ennemis d’Israël.
Photo Rahim Khatib / Flash 90