Le 20 septembre dernier, Shoulamit Rahel Ovadia, 83 ans avait été sauvagement assassinée alors qu’elle rentrait chez elle, à Holon.
Le terroriste de 28 ans, qui possédait un permis de travail en Israël et était employé sur le chantier voisin du domicile de la victime, avait été arrêté quelques jours avant le drame pour comportement suspect, puis relâché. Il avait été retrouvé mort, pendu, quelques heures après l’attentat.
Pour les services de sécurité israéliens, il s’agit, sans aucun doute, d’un attentat. Le Premier ministre Lapid avait également dénoncé l’attaque comme telle.
Mais cette définition ne convient pas aux services de l’ONU qui ont refusé d’inclure Shoulamit Rahel Ovadia, z’l, dans la liste des victimes du terrorisme. Ils ont préféré adopter la version palestinienne des faits qui nient le caractère terroriste des faits en s’appuyant sur le suicide du terroriste quelques instants après.