Un bâtiment public a été découvert près de Beth Shemesh. Il a pu servir de lieu de culte, avec une salle contenant des dizaines de récipients intacts et un four à poterie vieux d’environ 5 000 ans – l’un des plus anciens jamais découverts en Israël.
Il semble que ce site, découvert lors des fouilles de l’Autorité des Antiquités d’Israël en préparation de l’expansion de la zone industrielle occidentale de la ville, appelée « Brosh » (cyprès), développée par le groupe d’ingénierie Shamir et la société de développement économique de Beth Shemesh, ait joué un rôle central dans le réseau de peuplement des basses terres de Judée (Shfela) du début de l’âge du bronze. Les magnifiques récipients de ce site seront exposés demain (mercredi) et jeudi lors de la 17e conférence « Découvertes dans l’archéologie de Jérusalem et de ses environs » qui se tiendra au campus national Jay et Jeanie Schottenstein pour l’archéologie d’Israël.
Un lieu de peuplement vieux de 5 000 ans, qui donne un aperçu du début du processus d’urbanisation en Terre d’Israël, a été découvert lors des fouilles de l’Autorité des Antiquités d’Israël près de Beth Shemesh, sur le site de Hurvat Husham.
Les fouilles ont notamment révélé un bâtiment public qui a pu être utilisé pour des activités rituelles, ainsi qu’une salle contenant une quarantaine de récipients intacts. Parmi eux se trouvaient également de nombreux petits récipients, dont la taille suggère qu’ils n’étaient pas destinés à un usage domestique, mais avaient plutôt une fonction principalement symbolique. Les récipients ont été conservés à leur emplacement d’origine, tout comme ils avaient été placés par les habitants du site à l’âge du bronze ancien (fin du 4e millénaire avant notre ère). Selon Ariel Shatil, Maayan Hemed et Danny Benayoun, directeurs des fouilles de l’Autorité israélienne des antiquités, « il est intéressant de constater que ces nombreux pots et cruches ont été placés ici peu de temps avant que l’ensemble du site ne soit abandonné à jamais. On peut littéralement imaginer les gens qui ont déposé cette vaisselle et ont tout laissé ici. On ne sait pas ce qu’il s’est passé dans cette pièce par la suite, mais il y a des traces de brûlures et des récipients qui sont tombés les uns sur les autres. L’examen en laboratoire de leur contenu à l’aide de différentes méthodes scientifiques apportera un éclairage supplémentaire sur le site : nous pourrons dire s’ils contenaient de l’huile, de l’eau, du blé – ou peut-être s’agissait-il spécifiquement d’huiles exotiques ou d’autres substances”.
« Nous ne connaissons pratiquement aucun bâtiment public en Israël de cette période ancienne et antérieure », précisent les chercheurs. « La comparaison avec les quelques bâtiments connus de ce type permet de conclure qu’il s’agit probablement de l’un des premiers temples jamais découverts dans les plaines de Judée. »
Pour le Dr Itshak Paz, expert de l’âge du bronze ancien à l’Autorité des Antiquités d’Israël: « C’est l’un des indicateurs du développement de l’urbanisation en Israël au cours de l’âge du bronze ancien. Deux fours de fabrication de poterie ont également été découverts sur le site, parmi les plus anciens jamais découverts en Israël.»
L’ancien lieu de peuplement de Hurvat Husham a été découvert pour la première fois en 2021, lors de fouilles menées par Marion Zindel et Natan Ben-Ari pour le compte de l’Autorité israélienne des antiquités. Au cours des trois dernières années et demie, les fouilles ont été élargies, ce qui a permis de clarifier l’étendue du site et son importance pour la compréhension des origines du processus d’urbanisation en Israël.
« Le site découvert à Hurvat Husham est exceptionnel non seulement par sa taille, mais aussi parce qu’il nous révèle certaines des premières caractéristiques de la transition de la vie villageoise à la vie urbaine », expliquent les responsables des fouilles. « Le site nous apprend qu’il y a environ 5 000 ans, les premiers pas vers le développement d’une société urbaine ont déjà été faits dans les plaines de Judée. Quelques générations plus tard, nous voyons déjà de grandes villes dans la région, entourées d’un mur, avec des palais et d’autres bâtiments – comme sur le site de Tel Yarmouth, qui se trouve dans le champ de vision de ce site. »
C est vraiment très intéressant il faut continuer à chercher méthodiquement et en prenant toutes les précautions
Il faut en finir ça ne peut plus durer il faut raser Gaza et son peuple de terroristes
Mais ´non cher monsieur, certains juifs ne sont pas des nazis genocidaires.
Les c… ça ose tout …
Michel Audiard
Ça prouve une chose : l’occupation antérieure à la conquête vers 1400-1200 avant JC
Encore une énième preuve que le vieux fossile de Ramallah avait tort… lorsqu’il disait dans un de ses interminables monologues (dignes de l’ère soviétique) à l’ONU : “ils peuvent toujours creuser… ils ne trouveront rien”… !!!
Ce sont ces populations dites cananeennes que nous avons chassées.
Qui pratiquaient des abominations…
Ne pas prendre à la lettre (au chiffre) les cinq mille ans, mais mettons plutôt 3000, à la vue des poteries dont la rotondité est pratiquement parfaite et pour cela il faut un système giratoire.
Une idée des datations : Abraham est né en 1948 à partir de la création du premier sapiens ADAM, il a un fils à 100 ans de SARAH, lors de l’épreuve (Ytshaq a pu avoir environ 7ans, par rapport à la question qu’il pose à son père qui est celle d’un enfant et à la réponse du père) ce qui fait 2055 ans (c à d) il y a 3730 années par rapport à notre calendrier de 5785, et vous notez qu’à son époque on ne pouvait créer du feu aussi facilement puisqu’il prend avec lui du feu pour le sacrifice, qu’il porte pendant 3 jours, donc il y a 3700 ans les gens n’étaient pas encore assez évolués pour penser à un système giratoire.
Le feu étant plus important que le système (outres en peau) pour préserver de l’esu.
les systèmes gyratoires (mdr) existent depuis que la roue existe. les poteries datent de la nuit des temps. L’article n’a pi as dit qu’il s’agissait d’urbanisme israélite, mais en Ysraël.
Ce territoire, de “Canaan” a été peuplé par les descendants ‘Hamites alors que cette terre faisait partie de l’ attribution, par Noé, des descendants de Sem. À l’origine, les ‘Hamites devaient peupler la seule Afrique.