A une semaine de la fin du dernier délai, l’incertitude est à son comble quant au déblocage de l’imbroglio politique dans lequel Israël et embourbé. Après l’échec de la réunion entre Bleu-Blanc et le Likoud mercredi soir sous l’égide du président de la Knesset, le choix est entre un coup de théâtre et l’annonce officielle de nouvelles élections. Mais qui sera à l’origine de ce “coup de théâtre”?
Jeudi matin, Avigdor Lieberman a semblé lancer un appel du pied au Premier ministre Binyamin Netanyahou. Lors d’une interview à la station de radio Kan-Reka, le président d’Israël Beiteinou a déclaré: “Si Binyamin Netanyahou avait accepté de faire certaines concessions sur le plan des relations Etat-Religion, j’aurais pu rejoindre sa coalition et il y aurait aujourd’hui un gouvernement de droite stable de 63 députés. Mais Netanyahou n’arrive pas à refuser quoi que ce soit aux orthodoxes”. Un scénario évoqué pour la première fois depuis longtemps par Avigdor Lieberman.
Egalement intéressant, durant toute l’interview, l’ancien ministre de la Défense n’a pas évoqué une seule fois la condition qu’il brandit depuis les élections du mois de septembre, celle d’un gouvernement d’union basé sur un socle Likoud et de Bleu-Blanc. Avigdor Lieberman s’est peut-être fait une raison après les prises de position nettes de Yaïr Lapid et Moshé Yaalon qui ont confirmé leur refus catégorique de siéger dans une coalition de laquelle ferait partie Binyamin Netanyahou.
Appel du pied à Binyamin Netanyahou afin qu’il tente de convaincre les partis orthodoxes d’assouplir leurs positions?
Parallèlement, le président de la Knesset Yuli Edelstein, très actif ces derniers jours, a rencontré jeudi matin Arié Dery, président de Shass, qu’il a qualifié “d’acteur politique très important à l’heure actuelle”. Peut-être ont-ils abordé l’option évoquée par Avigdor Lieberman.
Comme le dénominateur commun de tous les protagonistes est de tenter d’éviter de nouvelles élections, le suspense et les tractations – ouvertes ou en coulisses – n’iront qu’en crescendo dans la semaine qui vient… semaine…
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
IL faut que les orthodoxes comprennent aussi que si les gauchos et les arabes sortiront vainqueurs , ils auront tout à perdre !!! alors faire quelques petits pas pour l’ ETAT d’ISRAEL , ne serait pas vain !!!
Les Arabes sont contre le mariage civil et le service militaire, donc les orthodoxes n’ont rien a perdre de ce côté.
Est ce que les juifs religieux doivent raser leur barbe et remplacer leurs tsitsits par un débardeur Nike pour faire plaisir à YL et YL ?
Sans commentaire : c’est inutile !
Shabbat Shalom
UN RESPONSABLE POLITIQUE A T IL LE DROIT MORAL D’EXCLURE TOUT EN PAN DE LA SOCIÉTÉ JUIVE MÊME SI CELLE CI A ÉTÉ ACCEPTÉE PAR UNE GRANDE PARTIE DU PEUPLE JUIF, ?
A T IL LE DROIT DE FAVORISER UNE MINORITÉ DE RENÉGATS ARABISANTS DE CONTRER UNE MAJORITAIRE MÉMÉ SI CELLE CI BIEN QUE MAJORITAIRE EN NOMBRE EST ENCORE INFÉRIEUR A UNE MINORITÉ QUI DOIT SON EXISTENCE GRACE A SON ARABISATION COMMUNISTES GAUCHISTE ANTIJUIVE ?
Et ça s’appelle faire des petites concessions ? Ce que demande Liberman c’est tout simplement de faire de l’état d’Israël un état qui ne serait plus Juif. Le seul pays juif dans le monde, face à tous les pays Islamistes.
Si Lieberman parle sérieusement, c’est à dire de rentrer dans une coalition avec le Bloc des 55, Likoud-Droite-Ultra-orthodoxes, il faut le prendre au mot. Il est temps que les Ultra-orthodoxes fassent des vrais gestes envers le pays qui les portent, car autrement ils risqueront de tout perdre.
Shavoua tov Moshe ben Shaoul. Je crois que cela n’est pas inutile d’essayer de s’entendre avec Lieberman, car c’est la seule solution à la crise actuelle. Je ne crois pas à une coalition Likoud – Bleu-Blanc qui sera mauvais pour Israël.