Lors de la séance de la liste Bleu-Blanc, Yaïr Lapid a annoncé qu’il renonce à son accord de rotation avec Benny Gantz à la tête d’un gouvernement, ceci afin de favoriser la constitution d’un gouvernement d’union. Le président de Yesh Atid a toutefois assorti sa décision d’une condition: que ce soit Benny Gantz qui prenne en premier la tête du gouvernement, et deux ans après seulement, Binyamin Netanyahou si ce dernier arrive à s’en sortir de ses affaires judiciaires. “L’Etat d’Israël a besoin d’union avec à sa tête Bleu-Blanc, accompagné du Likoud et de Lieberman”, a dit Yaïr Lapid.
allez lapid encore un ptit effort. bibi en premier
Intéressant !
Cette déclaration réduit la marge de manœuvre de Bibi.
S’il accepte cette coalition, il trahit ses alliés naturels. S’il refuse, alors que le compromis pour éviter un troisième tour est bien là, il risque de perdre encore une partie de son électorat.
S’il accepte pour éviter le pire, il se retrouvera dans la situation qu’il redoute le plus : une coalition qui ne lui sera pas favorable…
De toute évidence, Lieberman et Lapid sont en train de le piéger.
Wait and see.
Shabbat Shalom et Shana Tova
La parole de Lapid n’est pas parole d’évangile, cet homme a déjà dit tellement des choses dans sa vie comme son accolite Lieberman. Cela sera Bibi ou rien. Les premiers coupables de cette situation sont Lieberman et Lapide et non pas Bibi. Il faut pas prendre les braves gens pour des canards sauvages. Gantz a joué 2 fois et il a perdu. Il perdra une 3ème fois s’il s’obstine autant à faire tomber Bibi. Bibi sortira à la fin gagnant car le petit peuple d’Israël est avec lui.
Shana Tova Calimero !
Toujours un plaisir de vous lire et de vous relire.
Citation de Pasqua (qui n’en était pas l’auteur) : “les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent”.
Citation de Shadok : “Plus ça rate, et plus on a de chances que ça marche.”
Shabbat Shalom.
Cher Calimero,
En ce moment, je suis dans l’attente de bonnes nouvelles, et votre commentaire précédent me réchauffe le cœur.
Je ne tiens pas à débattre politique car nous avons, je pense, suffisamment débattu.
Ce que je veux dire, c’est qu’au delà de nos divergences, je prends sur moi à cette veille de Kippour, et comme j’essaye de le faire tout le temps, de n’avoir aucun sentiment négatif envers mes frères Juifs quelles que soient leurs opinions politiques. Bien évidemment cela signifie que je “pardonne” à ceux, qui dans leur élans pour défendre leur idées, ont parfois employé des mots excessifs. J’ai mis des guillemets à “pardonne” car c’est un manque de modestie : comment un Juif simple pourrait-il ne pas pardonner.
Gmah Hatima Tova, Shana Tova et que nous puissions avoir la chance (plutôt que le mérite) de voir le jour de la Grande Délivrance au son du grand Shoffar.