Le parquet a demandé à la Cour suprême de reporter de 45 jours la date de l’évacuation des maisons d’Amona qui a été fixée au 25 décembre. Dans la requête qui a été déposée, il est précisé que l’Etat a investi de gros efforts, en raison de la complexité et de la fragilité de la situation, afin que l’évacuation des 40 familles et de près de 200 enfants, conformément à l’accord conclu, se fasse dans les meilleures conditions possibles et sans opposition de leur part. Mais, est-il encore indiqué, les maisons qui devaient être construites sur la colline ne seront pas prêtes à temps et un délai supplémentaire est donc nécessaire pour permettre de prévoir en attendant des solutions d’hébergement pour les familles délogées.