Le président de la Knesset Amir Ohana a rencontré seize députés de divers parlements européens venus en Israël pour exprimer leur solidarité avec le pays en guerre contre les terroristes du Hamas. Parmi eux se trouvaient le président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de la République tchèque, l’ancienne ministre des Affaires étrangères de Bulgarie, ainsi que des députés de Grande Bretagne, d’Allemagne, d’Islande, de Lituanie et de l’Union européenne.
Il les a chaleureusement remerciés de leur soutien, soulignant qu’il fallait ‘beaucoup de courage pour se tenir aux côtés d’Israël’. Il a ajouté que ‘plus tard, en regardant en arrière, ils seraient fiers de s’être tenus du bon côté de l’histoire’.
Amir Ohana s’est dit profondément choqué par le meurtre de Paul Kessler perpétré lors d’une manifestation aux États-Unis : « Nous assistons à une explosion de l’antisémitisme dans le monde entier. Un manifestant juif qui a été assassiné alors qu’il tenait un drapeau israélien par un manifestant pro-palestinien, qui l’a frappé avec un mégaphone, comme c’est symbolique. Il s’agit d’un acte criminel. Ce moment est un signal d’alarme pour tous les pays européens. Vous avez l’obligation de protéger les Juifs dans vos pays ».
Ohana a ajouté : « Votre pression diplomatique peut nous aider à rendre nos otages kidnappés par l’organisation terroriste du Hamas à leurs familles. »
Au cours de l’entretien, Ohana a tenu à insister sur un point précis. Il a déclaré à ses hôtes : « N’exercez pas de pressions sur nous pour que nous acceptions un cessez-le-feu. Il n’aura pas lieu tant que nous n’aurons pas achevé notre mission qui consiste à éliminer le terrorisme de notre région et à ramener nos otages chez eux ».
Merci à ces députés de soutenir Israël.
A la fin, ce n’est pas le favori palestinien des journalistes qui gagnera comme dans le prix Goncourt.
Remarque : je suis contente que “Veiller sur elle” de Baptiste Andrea ait remporté le Goncourt et non le favori des journalistes.
Les journalistes, qui se trompent souvent pour ne pas dire toujours, ont perdu la mise. Ils se trompent en littérature, ils se trompent aussi en géopolitique et dans tout d’ailleurs; en tant qu’infirmière puéricultrice, j’entends tellement d’âneries dans le domaine médical de la part des journalistes.