En 2018, 28.099 nouveaux immigrants ont immigré en Israël, soit 6,6% de plus qu’en 2017, selon les données publiées par le Bureau central des statistiques. Ces données indiquent également que depuis la création de l’État d’Israël, 3,3 millions de personnes ont immigré et que 47,3% de ces immigrés sont venu en Israël seulement à partir de 1990…….Détails……..
Sur le nombre total d’immigrants arrivés en Israël en 2018, 67,7% provenaient de l’ancienne Union soviétique, principalement de Russie et d’Ukraine , 9% des États-Unis et 8,7% de France.
En 2018, le nombre d’immigrants le plus élevé est venu de Russie, soit 10.460 immigrants, une augmentation de 46,6% par rapport aux 7.135 immigrants russes arrivés en Israël en 2017.
En 2018, la tendance à la baisse du nombre d’immigrants en provenance de France s’est poursuivie et seuls 2.415 immigrants français sont arrivés en Israël, soit une baisse de 23,5% par rapport à 2017.
La vague d’immigration en provenance de la France a atteint son apogée en 2015, avec 6.628 immigrants français.
Les données montrent également que les immigrants d’Europe sont les plus âgés – leur âge moyen étant de 35,4 ans.
Les nouveaux immigrants de 2018 ont préféré s’installer dans les grandes villes, qui comptent plus de 100.000 habitants.
Par exemple, 11,1% se sont installés à Tel-Aviv, 9,5% à Jérusalem, 8,5% à Netanya, 7,9% à Haïfa, 5% à Bat Yam et 5% à Ashdod.
Source Koide9enisrael
……………………bonjour. …………………………
Oui la ville de Natalyia. ..tres belle ville. .. l’appartement de mais amis au bord de la mers
Vivre en Israél pourquoi pas …. je pense faire des affaires. Je posede des brevet à breveté. … j’aime le climat méditerranéen. ….. je suis curieux et téméraires alors lol…… bonsoir.
Je suis de ceux qui sont arrivés en 2018. j’ai choisi de venir vivre à Rishon Letsion pour une intégration dans une ville Israéliennes. Aujourd’hui je regrette le choix de cette ville car malgré les efforts des responsables de la municipalité (surtout démarches administratives) je n’ai pas réussi à trouver des activités danse chants ou ateliers de loisirs créatifs (je suis retraitée). Cette ville est plutôt tournée vers une population des pays de l’Est. Alors c’est vrai que je me demande si je ne ferais pas mieux de me rapprocher des villes francophones ?
Quand un français arrive en Israël, il trouve les langues hébraïque -normal, heureusement- l’arabe, -logique puisque un tiers de la population est arabe-, l’anglais, -logique encore, c’était la langue du Mandat britannique -, le russe -logique, les Russes font nombre aussi –
Donc les français doivent apprendre l’hébreu, mais en passant par l’anglais obligatoirement, le plus simple, ou par l’arabe parlé, s’ils sont originaires d’Afrique du Nord et qu’ils ont pu apprendre la langue qui leur vient quand même de leurs parents ou leurs grands parents, pour les nouvelles générations-
c’est ce qui se passe dans les Oulpanim: on dit aux Français qui veulent apprendre l’hébreu: “mais le français et l’anglais sont les mêmes langues”. Alors, pourquoi on met l’arabe à côté de l’hébreu, puisque l’arabe et l’hébreu sont les mêmes langues, en suivant cette logique, avec juste des lettres différentes.
Donc un Français doit bien connaître l’anglais pour pouvoir apprendre l’hébreu. Non sens!
Les Israéliens le savent bien; ils n’aiment pas entendre bredouiller les Français, perdent patience et leur demandent s’ils connaissent l’anglais: Allez comprendre un Israélien qui parle l’anglais!
Je crois que c’est JFK qui a lancé cette phrase-clé, très pertinente en Israël :
“Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez ce que vous pouvez faire pour votre (nouveau) pays”.
Lors de la grande vague de l’Alyah soviétique on a pu voir des ingénieurs balayer les rues, et des grands musiciens jouer de leur instrument dans la rue en comptant sur la générosité des passants. Imaginable pour des Français ?
Il est vrai que la non reconnaissance des diplômes français pour les médecins et les dentistes est responsable de la défection de beaucoup d’Olims de France mais trop de Français sont venus avec l’intention “de casser de l’Arabe” (par vengeance pour l’antisemitisme musulman subi en France) sans comprendre la complexité de l’électorat local qui comporte aussi des partis de gauche et d’extrême gauche.