Le directeur-général de l’Agence internationale de l’énergie atomique a exrpimé sa « vive inquiétude » après l’interruption totale du système de caméras de vidéosurveillance installé par l’agence sur le site de Tsea Karaj et bloqué aur ordre des autorités iraniennes.
Rafael Grossi estime que les iraniens empêchent les inspecteurs de l’agence d’effectuer leur supervision de manière totale, ce qui leur permet de progesser dans leur programme sans que quiconque puisse savoir ce qui se passe. Rafael Grossi
Sur certains sites, les caméras ont étrangement subi des dégâts (attribués par les Iraniens à Israël !) et n’ont pas été remplacées partout, et dans d’autres sites, les séquences filmées ont curieusement disparu. Rafael Grossi a demandé une entrevue urgente avec les dirigeants iraniens sur cette quesiton, mais n’a pas obtenu de réponse.
Par ailleurs, la question du programme nucléaire iranien n’a pas été incluse dans l’ordre du jour de la réunion des dirigeants de l’Union européennes qui se tient jeudi à Bruxelles. L’UE a également annulé une réunion qui devait se tenir en marge, avec la présence du vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Bagheri, réunion qui était destinée à « éclaircir les points de divergences » entre les puissances signataires de l’accord de Vienne et l’Iran, en prévision d’une reprise du dialogue.
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Que c’est beau de vivre cela en tant que Spectateur Monsieur , Grossi.
Chez nous on dit « » » Soeur Anne , ne vois tu rien venir à l’Horizon , » et cela à duré depuis plus de 20 ans , toujours la même demande , toujours sans réponse d’ailleurs..
Et c’est Payé Grassement.