Le journaliste Ehoud Yaari, spécialiste du Moyen-Orient sur la chaîne Hadashot 12 fait un peu figure de cavalier seul sur cette chaîne : il se réjouit ouvertement des accords de normalisation entre Israël et les pays du Golfe ainsi que du Soudan et n’hésite pas à les mettre au crédit du Premier ministre Binyamin Netanyahou.
Lundi matin, sur la station Galei Israël, il a lancé une “petite bombe” concernant la question sur laquelle les médias et la gauche israélienne ont décidé de tourner leurs projecteurs : la vente annoncée des avions-furtifs F-35 américains aux Emirats.
Pour des raisons politiques évidentes, les grands médias israéliens ont saisi la dite affaire de la vente d’avions furtifs F-35 aux Emirats arabes unis pour minimiser les accords de normalisation – acquis du Premier ministre – et se focaliser sur cette question sur laquelle plane un doute savamment entretenu : Binyamin Netanyahou avait-il donné secrètement son accord à cette vente en échange de la signature de l’accord de normalisation ou non ? Le Premier ministre et son entourage – ainsi que l’Administration Trump – affirment qu’il n’en est rien, et du côté israélien, on rappelle que la position d’Israël est constante : ne pas permettre à des Etats du Moyen-Orient d’atteindre une supériorité militaire sur Israël. Mais la gauche et les médias pensent le contraire et accusent le Premier ministre d’avoir agi en cavalier seul en contournant toutes les procédures habituelles et aurait ainsi hypothéqué la sécurité de l’Etat d’Israël au profit de ses intérêts politiques. Le ministre de la Défense Benny Gantz est même allé jusqu’à dire “qu’il n’était au courant de rien” (sic) et s’est targué d’avoir “rattrapé la sauce” en se rendant à Washington pour obtenir un accord américain sur la continuité de la supériorité militaire israélienne dans la région.
Dans ce débat plus politique que factuel, on oublie une chose élémentaire : cette vente d’avions-furtifs est une affaire entre les Etats-Unis et les Emirats, dans laquelle Israël ne pouvait que donner son avis mais pas trancher. Come l’a rappelé le ministre Zeev Elkin : “Les Etats-Unis ne sont pas nos employés”.
Alors qui avait intérêt à lancer ce sujet en pâture aux médias pour “gâcher la fête” ?
Ehoud Yaari a surpris ceux qui l’interviewaient en déclarant savoir de source sûre que ces allégations ont été lancées à la presse aux Etats-Unis par des milieux juifs du Parti démocrate dans le but de faire échouer ces accords dont ils craignent qu’ils serviront les intérêts électoraux du président Trump.
Personne ne sera étonné d’une telle perversité.
Photo Porte-parole Tsahal
Ce ne serait pas étonnant : les juifs US sont restés obstinément démocrates et cherchent sans le savoir, à faire dépendre Israël de leur desiderata. Il ne leur plaît pas qu’un Président des USA prenne des initiatives en dehors et en dépit d’eux. Ils veulent garder la mainmise sur Israël, et sur sa politique.
Cet article est éminemment révélateur de leur trahison. Il prouve que les Juifs démocrates n’ont rien compris à la politique islamiste, au radicalisme musulman et à ses méfaits en Israël et dans le monde contre Israël.
Ils continuent de s’identifier aux Palestiniens en tant que victimes imaginaires à qui les Juifs auraient volé le pays. C’est immonde !
Honte aux juifs Démocrates qui soutiennent les champions de l’antisémitisme d’extermination du peuple Juif que sont Hussein O et son valet Joe B.