Le journaliste et présentateur Yaakov Ahimeïr (Aroutz 1) est probablement l’un des journalistes les plus intègres et honnêtes professionnellement de la télévision israélienne. Contrairement à beaucoup de ses collègues, il prend toujours soin de ne pas faire transparaître ses opinions politiques et garde une attitude neutre et respectueuse quel que soit l’interlocuteur qui est face à lui. C’est d’ailleurs grâce à sa déontologie irréprochable qu’il a obtenu plusieurs prix journalistiques.
Mais après le verdict dans l’affaire El-Or Azaria, Yaakov Ahimeïr n’a pas pu s’empêcher de dire ce qu’il a sur le coeur. Invité sur une autre chaîne, il a accusé l’ancien ministre de la Défense Moshé Yaalon d’avoir scellé le sort du soldat dès le premier jour lors de son intervention virulente à la Knesset. Après cela, explique le journaliste, le système judiciaire de Tsahal, qui dépend du ministre de la Défense, ne pouvait pas s’engager dans une voie différente de celle indiquée par le ministre de tutelle.
Le journaliste a également pris la défense du soldat et a émis une vérité simple: « Il est impensable qu’un soldat qui doit affronter des situations difficiles comme celle de Hevron doive être accompagné d’un avocat qui lui dira sur le moment ce qu’il a droit ou pas le droit de faire! Ce sont les circonstances complexes qui dictent l’attitude de nos soldats. Cette affaire aurait dû être traitée en interne afin d’en tirer les leçons pour que de telles situations ne se reproduisent plus, mais pas en faire un spectacle à destination de la communauté internationale pour lui dire ‘regardez comme nous sommes moraux, nous jugeons ce soldat' ».
Et avec les résultats que l’on sait au vu des titres de la presse étrangère.
Photo Isaac Harari / Flash 90
Je suis aussi de cet avis, cela aurait dû rester en interne ! la guerre n’est pas une partie de plaisir, ne l’oublions pas et ce n’est pas un tir au pigeon d’argile !
alors qu eux memes ne font rien d autre que la meme chose c est devenu sodom celui qui est en accusationest l attaque et non l attaquant IMMORAL
Je sui de l`avis de Yaacob.
Les attendus du tribunal sont faussés dès le départ.
1/ ce procès n`aurait pas dû tout avoir lieu, tout au plus arrêté dès le commencement apprêt qu`il ait été décidé sou la pression du ministre de la défense et du chef de l`armée qui ont dès les premiers instants condamné le soldat.
2/ le tribunal c`est focalisé que sur les faits racontes par le soldat, qui a perdu la tête sous le feu d`une action le dépassant, pris de peur par ses supérieure et des medias qui d`avance l`ont accusé de meurtre il a dit n`importe quoi et changé de version selon ce qu`il convenait pour sa défense.
j`expose ici pourquoi je dis que les attendus du tribunal ont étés faussés.
1/ ils ont étés vu que sur l`angle du tire directe à la tête du terroriste par le soldat. Je dis qu`il y a ici abus de confiance de la part du tribunal après qu`il apparait clairement que ce tire a été effectuer d`emblé sur un DOUTE évidant et prouvé par les vidéos et les témoins. En effet, la version qui dit que le soldat a pensé que le terroriste n`était pas mort, prouve par l`autopsie et accepté par les juges, donc dans ce cas de figure, le DOUTE du danger présent qui a assailli le soldat était réel et tellement évident sur tous les signes (manteau en plein été pouvant cacher une bombe) Quand il y a doute sur un danger on doit agir pour éradiquer le doute d`une façon radicale c`est à dire tirer sans hésité et le soldat a fait ce qu`il fallait faire. Si les juges avaient pris en compte ce côté emblématique, le verdict aurait été différant. Les juges n`avaient pas à prendre en compte la malheureuse pensé sur la seule déclaration du soldat qui s`emblait lui donner l`envie de se venger, celle-ci et à prendre en compte seulement sur l`état mental et la rage du soldat de voir son copain blessé, peut être a mort, dans le feu de l`action, il n`a devant lui qu’une toute petite seconde et pas plus pour donner une réponse salvatrice a la vrai situation devant laquelle il se trouve, Devant ce doute réel comme expliqué ici. Cette pensé n`a fait que l`aider à agir comme il le fallait. Imaginons un instant le contraire, le soldat n`aurait pas été là pour être jugé et d`autres avec lui.
Bien sûr et après coup, il a été facile aux juges manipulés par les medias tout au long du procès, de prendre à la lettre les déclarations du soldat, et le juger selon les fait été enfantin.
Il faut rajouter a ce drame, que du fait que ce soldat a été envoyé en service par son officié sur un emplacement dangereux et devant lequel des faits de ce genre peuvent se passer à tout instant, il est à prendre en compte que le soldat peut faire des erreurs sur les consignes de tire ou autres comportements et que cette prise en charge le dédouane de toutes responsabilisées pénal. De ce fait, le soldat n`aurait pas du tout être jugé par un tribunal, mais plus justement comparaitre devant une commission d`éthique y compris ses supérieures, afin de répondre a toute ces questions de la manière la plus élémentaire.
Ce jugement doit être purement et simplement annuler !