Israël joue une fois de plus, bien malgré lui, le rôle du bouc émissaire. Cette fois, c’est le roi de Jordanie qui a trouvé commode de pointer du doigt le conflit israélo-palestinien, estimant que « ce n’était que lorsqu’il serait résolu que le groupe ‘Etat islamique’ pourrait être vaincu ».
Dans son discours, vendredi, à la Conférence de Munich réunie pour tenter d’instaurer un cessez-le-feu en Syrie, Abdallah II aurait déclaré, d’après le Times of Israël, que si la crise entre Israël et les Palestiniens n’était pas réglée, « elle risquait de devenir un conflit religieux de dimension globale ». Et d’ajouter : « Ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne dégénère en une nouvelle guerre à Gaza ou au Sud-Liban. C’est donc une priorité pour nous tous de parvenir à la solution des ‘deux Etats’ ».
Petite erreur Mr Allouche,de plus des 3/4.