Le chef de la police, Yaakov Shabtaï, a fait le buzz. Dans une interview donnée au supplément week-end du Yediot Aharonot, il a fait part de sa volonté de fermer les réseaux sociaux à la prochaine explosion de violence comme celle à laquelle on a pu assister dans les villes mixtes l’année dernière.
”Nous avons été surpris”, reconnait Shabtaï concernant l’ampleur des émeutes pendant l’opération Gardien des murailles, ”Ni la police, ni le Shabal, ni Tsahal, personne n’avait prévu la tournure qu’ont pris les émeutes dans les villes mixtes. Le monde de TikTok a pris une place incroyable et additionné aux événements à Gaza et aux missiles sur Jérusalem, la violence est devenue légitime”.
Le chef de la police explique que pendant cette période, il a proposé au gouvernement de bloquer l’accès aux réseaux sociaux en Israël, afin de faire redescendre la pression. D’ailleurs, il n’exclut pas d’utiliser cette méthode lors d’une prochaine explosion de violence: ”Je pense que dans de telles situations, il faut fermer les réseaux sociaux. Ce sont eux qui font sortir les gens dans la rue. Il faut les bloquer le temps que les esprits se calment sur le terrain. Nous sommes un Etat démocratique, mais il y a des limites”.
Ainsi Meïr Layosh, habitant de Lod et très actif sur Twitter a exprimé sa crainte face à une telle mesure expliquant que lors des émeutes, la police mettait parfois jusqu’à 40 minutes à arriver sur les lieux des incidents et c’est donc par l’intermédiaire des réseaux sociaux que les habitants alertaient et rendaient compte de leur quotidien. Ces posts et vidéos ont permis de faire prendre conscience de la gravité de la situation.
Il faudrait fermer les reseaux sociaux surtout pour la santé mentale des gens…
Effectivement c’est un moyen efficace de lutter contre l’embrasement des foules. La démocratie ne signifie pas que l’on peut faire ce que l’on veut, même des actions interdites par cette démocratie.
C’est hélas le sentiment général quand on voit les jugements au dessus des lois.
Il ne suffit pas d’être juif pour être un être humain moral.
Juif, si on tient au qualificatif, c’est apppliquer – à la base – les dix commandements.
Il y a des juifs qui appliquent techniquement les règles de la Halacha, mais veulent ignorer les préceptes noahides élémentaires qui ont précédé le don de la Torah.
Il y a des juifs – proportionnellement Dieu merci significativement plus rares qu’ailleurs – qui sont capables d’incendier la maison d’un famille endormie, et de perpétrer les plus cruels des crimes avec le soutien des corrompus – ou des plus fous – parmi les députés de la Knesset –
Ben-Gvir par ex. qui utilise sa profession d’avocat pour défendre des criminels extrêmes qui se cachent en Judee-Samarie entre autres.
Il y a des juifs qui utilisent les qualificatifs du lexique antisemite le plus caractéristique – envers nos ennemis.
Une tentation qui ne devrait pas même exister.
Et c’est vrai qu’il y a du terrorisme juifs.
Il y a des autobus “de Juifs”’qui ont débarqué dans les villes mixtes pour attaquer indistinctement la population arabe lors des dernières émeutes –
que la police ait été scandaleusement incapable de protéger les citoyens ne justifie pas une réaction qui éveille les plus sombres des échos de l’histoire des juifs.
Il faut savoir être objectif et appliquer la même loi pour tous sans contexte de religion.
Autrement c’est un sacrilège de cette religion.
Si quiconque s’apprête à réagir à ce commentaire en répétant que je me répète – c’est vrai.
Comme il y a dans tous les autres commentaires des éléments répétitifs et que les problèmes traités se répètent à l’échelle macro.
Si les termes de mon français ne sont pas toujours adéquats, c’est vrai aussi.
Et je choisirai l’hébreu le plus adéquat pour nous sauver en cette veille d’élections – avant que certains ne re-votent bibi – et en general avant n’importe lequel de nos agissements:
ה׳ יאיר את דרכנו