D’après la société Dan&Bradstreet, la consommation en Israël a baissé de 3% en 2022. La raison de cette diminution est, bien sûr, la cherté de la vie avec des prix qui se sont envolés dans tous les domaines.
Comme dans d’autres branches, comme l’immobilier, le secteur de l’alimentation n’a pas échappé au ralentissement de son activité.
Si la guerre en Ukraine et l’inflation mondiale sont à l’origine de ces augmentations de prix, en Israël, le caractère fortement concentré du marché, dominé par des monopoles a encore aggravé le phénomène.
Selon les données, après que les prix des denrées alimentaires ont augmenté d’environ 5 % en 2022 – début 2023 (janvier-février), les prix des denrées alimentaires ont continué d’augmenter d’environ 2 % de plus. Ceci, après qu’à la fin de 2022, l’un après l’autre, les principaux fournisseurs de l’industrie alimentaire ont annoncé des augmentations de prix pour certains produits, en guise d’ajustement à l’augmentation du prix des matières premières.
Le ministre des Finances, Betsalel Smotrich, a décidé de s’attaquer à ces monopoles et veut obliger les importateurs à se partager le marché afin de favoriser les petits fournisseurs. Le but est de favoriser la concurrence dans l’espoir de faire baisser les prix de certains produits.
Cette loi n’a, néanmoins, pas été incluse dans le projet de loi du budget, contrairement à ce que souhaitait le ministre. En effet, sous la pression des grands importateurs, la réforme a été provisoirement abandonnée, au motif qu’elle ne répondait pas aux critères économiques et juridiques nécessaires à son inclusion dans la loi, et qu’il n’y avait apparemment aucun moyen de prouver qu’elle conduirait effectivement à une baisse des prix.
la guerre en Ukraine n’y est pour rien , c’est un prétexte . L’inflation est mondiale parce que la monnaie ( € et $) ne valent plus un kopek.
Le kopeck encore moins ! D’où le troc entre la russie et la corée du nord !